lundi 5 novembre 2018

Le P ouvoir de l 'Imaginaire /N°621


La discussion continue avec Mr PEPPER   sur les contenus des articles de LA RECHERCHE  d’octobre 2018numero special 

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-«  Alors là , je suis totalement d’accord avec vous , OLIVIER  sur les dépouillements  de résultats  et une certaine précipitation  à  conclure trop vite … Mais n’oubliez pas que  l’équipe que vous avez signalée hier  à propos de «
Quark deconfinement drives supernovae in blue supergiant stars,  “
 Est issue  de divers labos universitaires ou de  NASA  )  , qu il s’agit de calculs sur les  signaux  d’effondrements d’étoiles géantes bleues    et que chez nous  l’adage «  publish or perish ! » est impératif !

-«  Pas besoin de les excuser  PEPPER ! N’oubliez pas vous non plus  que ma propre  petite fille CLARA  est en milieu de thèse ( PhD)  à RUTGERS Univ . et que je connais vos habitudes américaines ! En fait , je voudrais attaquer notre discussion aujourd’hui sur deux points 
:1 / Pensez-vous que les théories des rebonds d’univers ont fait récemment des progrès aux  USA  ou ailleurs  ?
2/ Y -a-il du nouveau sur ce que vous appelez   la « mort  de l’univers «   (« After its thermal death , could a UNIVERSE re – live ? »)

-«  Oui OLIVIER sur les deux !  Et je vous suggère par exemple de consulter les articles suivant : »1 /: cosmology - Is heat death reversible by thermal or quantum ...
https://physics.stackexchange.com/.../is-heat-death-reversible-by-thermal-or-quantum- fluctuations given an infinite time? Aug 31, 2016 avec un forum de 4 reponses
2/ Un gros paquet de notes   de notre   QUORA  com ( Internet USA) dont je crois vous êtes un membre  étranger OLIVIER  !
 Avec par exemple les thèmes suivants:
 » If energy cannot be destroyed, how can heat death the universe ...          Jul 25, 2017
How is the heat death of the universe possible?    Jun 5, 2017
What does 'Heat death of the Universe' mean?     Mar 15, 2015
Is it possible to destroy the universe? Quora forum   ETC

-“    Si j’étais resté sur mon blog du NOUVEL OBS   , une telle avalanche d’anglais  dans mon texte m’aurait immédiatement fait censurer  PEPPER !  Mais  je vous remercie  de me signaler tout cela  dont  je vais traduire l’essentiel pour mes  lecteurs francophones  ici !!!!

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-«  Quelle chance j ai  Pepper ! En traduisant  votre première référence  je tombe sur le billet d’un homme très intéressant   que je cite entièrement pour sa modestie  et  sa prudence :
«  Je suis nouveau ici, alors excusez-moi  si la question ne vous semble pas pertinente compte tenu de ce à quoi la physique est censée répondre. Je n'ai pas de formation en physique ou en mathématiques, mais j'ai appris quelques  petites choses sur l'entropie et les différents destins possibles d'un univers en expansion sur d'autres forums.

En supposant que le "destin" de  mort  thermique  soit la direction que prend  notre l’univers, tendant asymptotiquement à la recherche d’un équilibre thermique, restera-t-il alors  dans un état d’équilibre pour toujours? Ou  bien la "flèche du temps" cessera-t-elle de pointer brusquement vers l'avenir, car la diminution de l'entropie devient plus probable lorsqu'un état d'entropie quasi  maximale est atteint (je le  suppose )?

^^L'article du wiki sur ceci indique le nombre d'années qu'il faudrait à une fluctuation quantique aléatoire pour - peut-être -recréer un autre "big bang" et redémarrer l'univers comme  une  valeur  de l’ordre de 10^10^10^56. Je me rends compte a quel point  c’est un temps RIDICULE à appréhender , même si ça ne représente  jamais  qu’une possibilité physique et que 10^10^10^56 années ne sont qu’une infime fraction de temps comparées à un temps infini.

Je voudrais enfin poser la question suivante: la réalité résulte –t-elle  d’une phase unique passant peu à peu  d’un potentiel vague avec des degrés de liberté maximaux ( phase big bang) à une réalité nette avec une contrainte maximale (mort thermique)  et avec un temps asymétrique et unidirectionnel ou bien  résulte-telle  d un infini cyclique avec un temps symétrique qui s'inverse (au moyen de mécanismes hautement improbables mais physiquement pas impossibles) après une période de temps finie?

Je suppose que cela pourrait être une question de philosophie limite, mais je me suis dit que nous pourrions aussi bien essayer d’en discuter  avant d’aller  m’afficher dans des forums plus pertinents. Merci. »    Signé :will G raham

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Quant aux autres réponses de votre  référence  PEPPER     je me sens obligé d’en sélectionner  d’autres  points intéressants  car ils concernent l applicabilité des lois de la thermodynamique  a l equilibre   et hors--équilibre …
 Je cite , pour commencer , une partie du 2 eme billet (  Ruben Verresen)    « Si on choisit  une théorie particulière de l'univers, votre question a une réponse bien définie. Le problème est qu'aucune théorie unique ne peut être considérée comme applicable à ces durées. Par exemple: il est bien connu que si nous considérons un univers mécanique (c’est-à-dire classique à la Newton) qui a en outre une étendue finie, il est non seulement probable que ses fluctuations vont diminuer l’entropie, mais c’est une certitude. C'est ce qu'on appelle le théorème des  récurrence s (récidives) de Poincaré: l'univers est  en fait cyclique. Bien sûr, même si on vivait dans un tel univers, le nombre d'années qu'il faudrait attendre pour voir une telle récurrence est absolument ridicule. Néanmoins, compte tenu d'un temps infini, cela se produira. Mais il apparait  un problème plus profond: la mécanique classique ne  constituera  jamais une description appropriée  sur  des échelles de temps arbitrairement aussi  longues. De même  en passant à  une description quantique de notre univers: d'une certaine manière, il est en effet "évident" que, étant donné la présence de fluctuations, tout ce qui s'est passé une fois peut se reproduire. »

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 Ca je le sais bien sur ! Qu, il y a aussi des gens qui se sont demandé s'il y avait une raison de croire en un système cyclique   de   réplications globales d’un univers  et cette fois  OLIVIER      je dois vous rappeler l aricle  si   important : » [PDF]Disturbing Implications of a Cosmological Constant
 Les Implications dérangeantes d'une constante cosmologique ;
auteurs :
L.  . Dyson, M. Kleban L. Susskind

-“   Que nenni ,  PEPPER     l article date de 2002 et a été contesté ; j ai mieux a vous offrir  , à mon tour !


 a suivre

4 commentaires:

  1. Il ne peut y avoir "l'univers" mais DEUX états d'univers dont la base est normalement infinie et non exprimée.

    Quand elle s'exprime sa signature est chaque fois aléatoire, limitée et provisoire.

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    1. bien entendu ! Deus bulles (ou 2 etats )d univers ou plus peuvent coexister a des années lumiere l une de l autre dans une base infinie.....

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  2. Selon Oscar la dualité comprend une base qui est un potentiel neutre et infini* qui génère statistiquement une Bulle exprimée limitée et provisoire. Son existence repose sur la dualité de localité.

    Selon l'analyse détaillée, l'émergence de plusieurs bulles (provisoires) contemporaines, est hautement improbable.

    * la condition du statut d'infini est la neutralité complète des éléments oscillants. Dans le référentiel global : pas d'espace, pas de temps, et pas d'inertie. Dans le référentiel "1 pôle" ces éléments existent mais s'annulent strictement dans le référentiel "dipôle".

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  3. Selon Oscar, plusieurs BECs sont en gestation. Mais l'allure amenant à la saturation-synchronisation-mitose est exponentielle.

    Cependant elle s'étale sur un pseudo-temps* extrêmement plus long que celui d'une Bulle-Univers. Cela réduit drastiquement la possibilité de plusieurs premiers.

    Dès que la (première) Bulle est née, son temps imparti est tellement court (pourtant compté en milliards d'années) que le second BEC n'a guère progressé.

    * le pseudo temps se compte en nombre d'oscillations de périodes moyennes du large spectre stochastique. Pour passer du désordre le plus complet à la synchronisation-saturation dans un BEC naissant, la statistique indique une probabilité quasi nulle. Cependant comme le nombre d'oscillation est illimité (infini), cela fini forcément par arriver.

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