mercredi 5 juillet 2017

Pour essayer de  sortir de la FORTE déprime  où mes problèmes croissants de santé  m’entrainent , je suis  amené à  quitter provisoirement  les sujets tumultueux actuels du nucléaire  français  et  à revenir sur les thèmes  fréquentés dans  mes rubriques  fondamentales  , « LE POUVOIR DE L’IMAGINAIRE » , « LE MONDE SELON LA PHYSIQUE » et « LA PHYSIQUE DES HORIZONS HUMAINS » …Rien de tel qu’étudier et travailler pour espérer retrouver un moral  minimal ……….
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 Avant de me «  repointer »  sur les sujets qui m’obsèdent, permettez –moi chers lecteurs de vous présenter  les   publications du dernier mois  que j’ai reçues avec quelques courts commentaires ensuite  ….
Le magazine « POUR LA SCIENCE » m a envoyé  l’exemplaire de la photo ci jointe

Pour la Science 477 juillet 2017
Pour la Science Nº 477 Juillet 2017

Tous ceux que leur curiosité fait décoller de leurs soucis  terrestres et qui s’intéressent de ce fait  à l’astronomie s’extasieront comme moi  des merveilleuses photos contenues  dans le magazine et iront  même en rechercher davantage sur le site INTERNET  de la mission CASSINI/HUYGENS….Et inévitablement ils se poseront des tas de questions …..Je ne vous cache pas que les miennes  tournent autour de ce constat de la rareté des phénomènes physico – chimiques  vitaux dans  l’univers…..Je ne suis pas assez imaginatif pour voir partout des petits hommes verts  …… Même si dans des articles récents je vous ai parlé des découvertes  de molécules complexes  de la chimie du carbone  dans des planètes , sur des  astéroïdes   et    météorites du système solaire , cela me semble encore un immense  pas à franchir   pour   déboucher sur un phénomène  aussi  réplicatif  et évolutif    que  celui du vivant …..Jeune homme  je me rappelle avoir été   assez effaré de l’immense  « froideur  glacée » et silencieuse de l’Espace …. « Mais me rétorquez-vous , vous nous parlez sans cesse OLIVIER  , de cette  collection de particules et de rayonnements qui y circulent   ….N  ‘y a-t-il pas là  la cause des  excitations   , irradiations etc. ….nécessaires au développement  d’une physico chimie  par activation ??? »
Oui ! Et pour revenir précisément là-dessus permettez-moi de vous signaler l’article de P.FROME/J.SPENCE   « Du cinéma moléculaire avec des rayons X »….puisque je vous avais déjà signalé en janvier 2017   sur  LE MONDE SELON LA PHYSIQUE/PHYSICS WORLD   l’article «  The European X-ray Free Electron Laser (E-XFEL) » avec « the Femtosecond X-Ray Experiments and the Single Particles, Clusters, and Biomolecules and Serial Femtosecond Crystallography instrument.  Suivre avec une séquence  d’images SFX    les modifications et les dégâts  subis  par ces rayons X permettra de visualiser et expliquer  des réactions biochimiques  et de découvrir de nouveaux médicaments……
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Le  magazine  LA RECHERCHE   m’a envoyé  l’exemplaire de la photo ci-dessous

  524
N°524 
JUIN 2017
  Le titre de couverture annonce par avance les 3 articles  de détails : «  L’étonnante diversités  des noyaux  d’atomes » par  D.DELBECQ , « Des territoires à explorer » par S GUILBAUD , « A la recherche des èléments super lourds » par A.DROARD /M.BENDER …  Cela me rappelle mes jeunes temps d’étudiant    quand on cherchait désespérément à construire un modèle de noyau pour y enfermer  des protons et neutrons  dans   ce que nous appelions  « le modèle de la goutte liquide » …..Qui date des années  35-40 …. Et qui a fini par atterrir sur la chromodynamique quantique de David Politzer, Frank Wilczek et David Gross …Je ne suis pas persuadé que l on ait atteint  une synthèse fine  dans la compréhension  des effets quantiques  dans les noyaux …Tant qu on n aura pas trouvé les clefs complètes du sub quantique   et des  Cordes ….
 En revanche   je vous signale  la question  « psycho »  et intéressante posée à la Rédaction du journal  par un lecteur A.BRILLET (copier-coller) : « En ne décrivant que l’aspect spatial de l’espace-temps , au voisinage d’un trou noir  , l’article «  que  se passe til dans un trou noir » est trompeur  pour un lecteur  ne connaissant pas la relativité générale On ne peut décrire ce voyage sans considérer aussi la façon dont le voyageur voit «  passer » le temps  
 La réponse  de A.RIAZUELO    un ancien  de SACLAY  m a bien plu ; (copier-coller) »Q u’il s agisse de votre temps biologique ou de celui donné par votre montre  , rien de particulier  ne se passe durant votre trajet ……Mais si vous comparez le temps de votre montre  a celui  que vous envoie un observateur  loin du trou noir  ,il va y avoir des différences  …Certaines sont dues à des effets cinématiques classiques en vous déplaçant  vous modifiez votre distance à cet observateur ,ce qui change le décalage avec lequel  vous recevez ses signaux …D’autres   sont dus à la relativité restreinte  , qui dit que deux horloges se déplaçant à grande vitesse l une par rapport à l autre , ne perçoivent pas le temps de la même façon .D autres enfin sont liées à cette prédiction de la relativité générale que vous semblez évoquer :le temps  s’écoule différemment selon la distance  qui nous sépare des corps massifs  …En pratique   vous n observerez  que la combinaison de tous ces effets  ….Cela est vrai avant ou après avoir pénétré a l intérieur du trou noir »
Je rajoute là-dessus quelque chose d’autre : quand  un photon arrive à notre œil  , il perd le statut de photon pour se propager  jusqu’ à l’organe de  conscience centrale…..Et ceci    à la   vitesse de notre chronaxie personnelle  de nos axones myélinisés dans  les circuits de  notre  cerveau »optique »  , c est à dire avec un retard   au réel  variable et de l’ordre de  30 à 200 microsecondes . Mais nos 5 sens ont des vitesses  variables  entre eux : les signaux auditifs  ou sensitifs  ont des trajets et des chronaxies différentes  …Par exemple nous partirons en course  plus vite sur un start visuel   que sur un start bruyant   etc.    Nous devons ainsi reconnaitre que nous vivons toujours dans un passé   plus ou moins légèrement ( en retard )  ,déjà  différent du présent !!!!!

36 commentaires:

  1. Mmm ... ! Qu'est-ce que "le présent" ?
    Y a-t-il un "maintenant" qui traverse tout l'univers ? Ou le présent est-il local, lié à l'information et donc à la vitesse de son support le plus rapide (le photon) ?
    Mais, si vous le permettez, je voudrais vous demander autre chose, une précision : en parcourant votre ancien blog, j'ai lu (année 2006) que vous parliez, à propos des quarks up et down, de "quarks stables". Pourriez-vous préciser de quelle stabilité il s'agit, dans la mesure où j'ai cru comprendre que les quarks avaient TOUS une durée de vie très brève, du fait de leur sortie de l'état de confinement lors des collisions ?

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  2. Ma réponse est complexe si elle se veut complète! Dans la mesure où la durée de vie des mésons ( ou des pions ) a 2 quarks) est très faible ( de l ordre de 10 puissance -8 seconde ,on ne peut que les dénommer" instables" ....Mais avec la restriction que pour une particule de durée de vie plus courte , elle paraitra infinimant longue!
    En revanche , pour une configuration enfermée dans un noyau ( à 3 quarks ) elle varie pour une autre raison : il y a en permanence un jeu de ping pong entre quarks et gluons qui fait varier l 'énergie de chaque quark et un modèle présente meme la création de quarks et antiquarks fugaces a l interieur du sac que constitue le noyau comme permanent ....DOMINIQUE MAREAU présente encore un autre modéle de quarks sous forme d ondes miroirs qui naitrait des résonances internes possibles ...Mais de toute facon les 3 quarks d' un noyau non radioactif peuvent etre considérés de l extérieur du noyau comme stables ...ET LES QUARKS U ET D d un proton ne disparaissent jamais ( sauf casse par choc cinétique) puisque la durée de vie du proton excède 10 puisdsance 34 ans !

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    1. Ok, je comprends mieux.
      Je ne connais pas le modèle de DOMINIQUE MAREAU, mais je trouve son idée de "quarks ondes miroirs" intéressante. Il faudra que je trouve de la documentation à son propos.
      J'avoue avoir un faible pour les théories qui présentent la matière comme étant très liée à des phénomènes ondulatoires ... sauf que je n'arrive pas personnellement à y lier la masse et ce qui la caractérise, notamment la gravité.

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    2. C'est donc celui qui a élaboré OSCAR ?
      J'avais vu avec intérêt que vous en parliez dans votre ancien blog, ainsi que de LAFRENIERE et MILO. Malheureusement, l'Obs a été plus rapide que moi ...
      J'aurais, justement, bien aimé avoir l'opinion d'un spécialiste tel que vous, sur ces théories qui prétendent refonder la physique et la cosmologie officielles.
      Car, pour ma part, je n'ai pas les connaissances suffisantes pour en apprécier le(s) bien-fondé(s) : je butte trop souvent sur des affimations en forme, pour moi, d'assertions dont je n'arrive pas à remonter le cheminement.
      Si, à un moment, vous en avez le loisir, et que vous vouliez bien résumer votre position, je suis preneur. Mais j'ai cru comprendre que vous aviez actuellement d'autres soucis ...

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    3. Là où je rejoins un peu MAREAU, je l'avoue, c'est quand il qualifie - si je ne me trompe - les quarks de "sous-produits".
      Je me suis souvent demandé, en effet, s'ils n'étaient pas des sortes d'artefacts produits par les collisions, avec une telle variété (je crois qu'on en dénombre plus de 400 !) que, fatalement, il s'en trouvera bien quelques uns qui satisferont à la quantité d'e-volts prévue par la théorie ...
      Cela pourrait expliquer pourquoi il y a un tel déficit de masse entre les quarks eux-mêmes et les "contenants" (protons, neutrons) qu'ils sont censés former. Avec l'obligation de recourir à une forme "ad-hoc" d'énergie de liaison "massive" : les gluons.
      Cela expliquerait aussi pourquoi ces "morceaux" ont une durée de vie aussi brève "à l'extérieur" : ils ne sont que "résidus" appelés à disparaître ...
      Mais je dois reconnaître que la théorie des gluons est très ingénieuse et qu'il y a sans-doute suffisamment de résultats expérimentaux pour la conforter.

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    4. Bonjour Jihems ! Je vous invite à visiter mon site : http://www.cosmologie-oscar.com/index.php
      et cliquer sur "voir l'analogie comme préalable". Selon mon modèle, la clé est dans la notion universelle de dualité. Cette analogie développe notamment la notion de quintessence et la notion de localité, toutes deux induites par la dualité, dans tous les domaines. Et puisque vous parlez du "présent", et bien selon ce modèle, il est comparable au flou du zéro physique, fait du passé est de l'avenir et ce dans le cadre contraint de la localité.

      La dualité d'entropie (de désordre) joue un rôle déterminant. L'inanimé dans son ensemble, voit son entropie augmenter alors que le vivant lutte pour la faire décroitre.

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  3. NOUS VIVONS LE REEL DANS UN TRES LEGER "DIFFERE" ! puisque chacun de nos 5 sens nous en donne une représentation retardée différente!

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    1. C'est vrai ! On n'y pense pas...
      Et il faudrait y ajouter sans-doute le temps (qq millisecondes) que met notre cerveau pour élaborer notre processus de conscience.
      Notre "présent" psychologique est en retard sur celui de la matière ...

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    2. P.S. Tout cela montre à quel point nous sommes de la matière immergée dans la matière : notre présent est en retard, notre connaissance est approchée ("mur de Plank") ... cela doit nous inciter à la modestie.

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    3. Oui et notre interprétation personnelle du présent est emprunte à la fois de notre passé et de nos projets.
      Le présent est aussi insaisissable que le zéro physique. Il se rapporte à l'incertitude de Heisenberg mais attention ! Son rapprochement à la constante h n'est valable que chaque localité ! En fait l'incertitude de la "pensée présente" se rapporte plus à une phase d'univers sans constante (stochastique) et relève d'une entropie (au sens Shannon) maximale ! Du point de vue psychique L'instant présent absolu est pure folie !

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    4. Mr MAREAU - Tout d'abord, merci pour votre lien et vos commentaires !
      Je m'aperçois que j'aurai du boulot si je veux essayer de suivre votre pensée ... A condition d'y parvenir !
      Je ne parle pas seulement (!) de la théorie OSCAR qui est clairement hors de ma portée : je ne suis pas "phi-phy" (ni philosophe, ni physicien, encore moins mathématicien), juste, disons, un rêveur un peu curieux.
      Déjà sur le "présent", quand vous le comparez au zéro physique, je me dis que je n'en suis pas là. Je vous fais volontiers le crédit d'y avoir longuement réfléchi, et de proposer une vision qui se tient. Si je vous exposais la mienne, vous seriez mort de rire dans l'instant qui suit !
      Ne vous voulant pas spécialement du mal, je ne prendrai pas ce risque.
      Tout au plus pourrai-je dire que j'avais rattaché le présent à l'énergie mystérieuse qui a fait naître notre univers ...
      Mais je trouve sympathique que vous ayiez pris le temps de répondre ici.
      J'aurais juste - si vous le permettez - une petite question (que vous abordez sans-doute dans OSCAR) mais cela va vous donner un aperçu de mon niveau : comment conciliez-vous le principe de particules faites d'ondes ("ondes miroir") et la gravitation ?
      Pour moi, je n'arrive pas à concevoir une onde qui a le pouvoir de "courber" l'espace : elle ne transporte pas assez de matière, ni assez d'énergie pour cela (trop "étale"), cette onde fut-elle stationnaire. Cela, sans passer par l'apport de la "masse" qui me paraît de nature différente de l'onde, même si elle lui est liée ...

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  4. Le modèle standard considère l'espace-temps comme un "champ" quantique. Cette vague notion de champ permet de décrire mais ne permet pas d'expliquer.

    Pour le modèle OSCAR, le champ n'est plus un vague concept mais il est matérialisé par un ensemble d'oscillateurs subquantiques. Ces oscillateurs sont des tachyons duaux qui forment un Condensat de Bose Einstein (BEC). Ils peuvent se voir comme une sphère 2D pavées de tachyon + et – alternés. En fait, comme ils oscillent du centre vers la surface, ils forment une sphère 3D par ses multi-couches dynamiques.

    Cette sphère 3D revient à un pavage 3D de volumes élémentaires qui ont les caractéristiques de l'électron. Les BEC sont très nombreux et c'est leur enchevêtrement qui matérialisent l'univers tout entier.

    Si tout cela était sans particule aucune, alors chaque oscillateur dual fournirait un zéro parfait. Mais la présence des particules, déforme la symétrie spatiale de ces oscillateurs et ces derniers réagissent en émettant des masses virtuelles. Car en leur sein, masse, espace et temps forment un continuum indistinguable. Ainsi, un électron au repos, est toujours habillé de particules virtuelles. Sa masse, sa charge et son moment magnétique sont légèrement perturbés. Il existe un lien fondamental entre la déformation spatiale, le temps et la masse. Rendre asymétrique les oscillateurs duaux, revient à courber l'espace-temps.
    Ainsi les équations d'Einstein sont très justes sans pour autant en avoir donné l'explication où la cause.

    Il faut dire que les tachyons ont mauvaise presse car ils vont plus vite que la lumière ! Cela a l'air de contredire Einstein ! Et pourtant ce n'est pas le cas car cette vitesse de tachyon est au niveau subquantique et ne transporte rien ! Rien ? non pas tout à fait. Car le spin des particules est induit par ces tachyons ! Et cela est bien vérifié dans l'expérience de monsieur ASPECT. On sait que l'accord entre le spin de deux particules intriquées (appariées), voyage plus vite que la lumière !

    Pour répondre à la gravitation, il faudra lire le site en commençant par le lien "voir cette analogie comme préalable". Il raconte pas mal de choses en image par la notion de délocalisation. En gros, quand les tachyons sont "séparés" lors de la mitose originelle, il reste un lien ténu qui les lie entre eux par la même force électrique mais divisée par le nombre de tachyon existant sur le périmètre (1D) du BEC primordial. Ce nombre est donné exactement par une relation connue mais souvent mal interprétée. Les paires de tachyons (+, –) deviennent des paires électron-positrons ! Par le jeu fondamental de la délocalisation, ces dernières sont à la base de toute la matière. Ainsi, la matière est un mini reste des très nombreux tachyons formant l'espace-temps. (revoir les diapos).

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  5. Juste rajouter que la grande vitesse des tachyons, non seulement ne contredit pas Einstein mais donne en plus, l'explication très précise de la cause de la constante de Lorentz (vitesse de la lumière).

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  6. Je vois ... J'ai vraiment du boulot !!

    Mais merci encore.

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    1. P.S. Ce qui serait bien, c'est que quelqu'un écrive un jour quelque chose comme : "La théorie OSCAR pour les Nuls" ...

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  7. Avez-vous regardé les quelques diapos didactiques présentes sur le site et qui mettent en jeu une balance romaine (duale) ? Cette dernière donne un zéro relatif qui n'a rien à voir avec le zéro mathématique qui malgré son utilité pratique, est totalement artificiel.

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  8. Bonjour Mr MAREAU.
    Je suis allé sur la page que vous m'avez indiqué et j'en ai regardé attentivement les illustrations.
    J'ai trouvé très intéressante cette idée d'antagonismes qui s'équilibrent au point "zéro", qui, du coup, devient un "faux zéro".
    Je me dis que cette idée doit sans doute être très fructueuse lorsqu'on l'applique à bon nombre de phénomènes physiques.
    Je pensais, par ex. à la "création" par la matière du phénomène de polarisation. Il me semble que pour la matière reste globalement neutre, les protons et les électrons ont dû apparaître simultanément autour d'un "point zéro".
    De même à la frontière qui sépare le quantique du subquantique (le si mal nommé "vide") : là encore, la "balance" doit pouvoir jouer pour équilibrer à la fois les particules virtuelles qui émergent (électrons-positrons) par rapport à celles qui "restent" de l'autre côté de la frontière.
    Voilà, en tout cas, comment je me suis représenté les choses, à la lecture.
    La difficulté, pour moi, vient après : comment m'approprier votre démarche ?
    Je ne rêve même pas de l'appréhender en totalité : mes connaissances ne me le permettraient pas. Mais, au moins, de m'en approprier certaines grandes lignes.
    Et même là, je suis en difficulté. Par ex. quand vous associez la délocalisation à la gravitation ...
    De même, quand vous parlez d'"oscillateur", je reste perplexe en me demandant à quoi précisément vous faites référence.
    Pour vous situer mon niveau de questionnement, j'en suis toujours à m'étonner à propos de l'agitation thermique de toute matière : quelle est la nature de l'énergie cinétique qui l'entretient ? Pourquoi le zéro absolu est-il si difficile à atteindre (s'il jamais il peut l'être ...) ? Pourquoi la matière se transforme-t-elle à son approche (supra-conductivité/fluidité) ?
    Qu'est-ce que cette "danse de Saint-Guy" moléculaire, atomique, particulaire, peut nous apprendre sur les fondations et les sous-bassements de la matière que contient notre univers ?
    Et ... est-ce que tout cela a un lien avec votre notion d'"oscillateur subquantique continu, anharmonique, relié" ? Si oui, lequel ?
    Vous voyez comme je suis loin ... !

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    1. Oui cela a un rapport ! L'univers est foncièrement dual : il a un état peuplé d'une infinité d'oscillateurs duaux formant le zéro parfait. Ces oscillateurs forment un "espace" particulier : il est non connexe (un peu comme les molécules d'air qui s'agitent dans tous les sens). Les bases (masse, temps, espace), sont annulées (le zéro symétrique). Pas d'écoulement du temps mais fort brassage statistique. Avec ce désordre parfait (entropie maximale), on montre que cela débouche sur un flux de synchronisation qui forme BEC (il y a un détail précis et fourni). L'ordre devient parfait dans cette bulle créée (entropie minimale).

      0/ Ce flux arrive à saturation et brise la symétrie.
      1/ la bulle entre en mitose (un peu comme un big bang mais avec des causes précises et expliquées).
      2/ séparation partielle (délocalisation qui formera la matière)
      3/ le point 2 casse la symétrie du zéro et M, L, T se mettent à exister.
      4/ toutes les masses forment un immense oscillateur qui s'appelle univers (les relations physiques classiques et connues ne disent que cela).
      5/ retour au désordre parfait (entropie maximale).

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  9. Mr MAREAU bonsoir.
    Je n'avais pas vu que vous aviez mis en ligne un "second livre" "plus accessible". Je suis décidément aveugle !
    Même si je pense qu'il sera ardu pour quelqu'un comme moi, je vais m'y mettre. Merci.

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    1. P.S. Je dois dire que le début me plaît beaucoup. Votre façon de présenter le problème de l'invasion de la physique par les maths me parle tout à fait. Mais c'est vrai aussi que si les maths sont si présentes, c'est que ça marche ...

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  10. Oui les maths restent le langage le plus rigoureux pour "décrire" et également développer la technologie. Cependant, ce à quoi je me suis attelé depuis 25 ans, c'est également "comprendre".

    Exemple : 80% de physiciens, disent la phrase suivante : "Maxwells explique tout l'électromagnétisme". En ce sens ils font l'amalgame entre "décrire" et "expliquer". Si grâce à ses équations, on sait décrire et résoudre tous les cas de figure dans la vie courante et locale, le modèle standard ne dit rien sur la matérialité du "champ".

    Donc pour manipuler les connaissances, construire la technologie, expérimenter, la mathématique est le plus beau des outils. Là où en revanche il faut être prudent, c'est lorsque l'on veut s'en servir dans un rôle d'éclaireur pour "comprendre" la physique. La théorie des cordes en est l'exemple le plus frappant.

    La seconde dualité qui fait amalgame est celle concernant la localité : Depuis un siècle, on considère l'itération entre l'expérimentation et la théorie est le nec plus ultra en matière de rigueur.

    Cependant, cette dualité itérée oublie d'inclure la dualité de localité qui a été découverte il y a trente ans ! Encore une fois 80% des physiciens, ferment les yeux sur les conséquences de cette découverte. Elle remet en cause les bases centenaires de l'itération locale.

    La physique est en crise et on informe pas le grand public. Il n'y a qu'à lire Jean Bricmont sur ce lien et en particulier, le dernier paragraphe de la page 5 jusqu'à la page 7 : http://www.asmp.fr/travaux/gpw/philosc/rapport2/3-Bricmont.pdf .
    Cet auteur montre le trouble profond de la communauté scientifique concernant la localité. Beaucoup font l'autruche ! Or le modèle OSCAR est en total accord avec cette expérience.

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    1. chersamis
      A ma surprise l OBS a consenti à me redonner accés à un site , sous réserve que je change de nom ( je m appelle ROH) de titre de blog ( c est le meme que celui ci :sciences energies environnement et d email et de mot de passe ....
      Je vais continuer ici et remettre les memes articles sur l OBS

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    2. Mr MAREAU :
      Je lis avec bp d'intérêt le texte de Jean BRICMONT et j'aurais voulu savoir s'il existe en physique un champ où la moindre altération sur un objet peut affecter tout autre objet en relation avec ce champ ? Un peu comme en réception radio, l'introduction d'une nouvelle antenne modifie la réception de celles déjà présentes ?
      (Note : Je me dis que je squatte un peu trop le blog de Mr HARTMANSHENN pour mes échanges avec vous ! Auriez-vous un blog ?)

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    3. Selon OSCAR il n'existe qu'un seul champ mais qui se manifeste sous plusieurs formes. Ce "champ" n'est rien d'autre que le tissu de tachyons subquantiques, plus ou moins perturbé par les particules, selon leur concentration, leur impulsion, etc....

      Ainsi la réponse à votre question est positive. Toute perturbation locale, induit une contrepartie non locale. Cela agit déjà dans le BEC local puis dans tous les autres BECs formant la bulle univers. Cette bulle univers est "contenue" dans l'infinité des oscillateurs stochastiques non connexes. Il n'existe aucune coordonnée dans ce pseudo espace !

      Exemple avec un photon : le BEC possède une période universelle (T = 10^-21 s) qui est la même que celle de l'électron ! Cela veut dire que chaque tachyon-oscillateur fait un aller-retour au centre (zéro commun) du BEC à ce rythme ! Vu la taille d'un BEC (halo galactique), le tachyon circule à une vitesse de : co = c × 10^33 (avec c la vitesse de la lumière).

      Ainsi tout photon est toujours contraint de franchir sans arrêt les espaces élémentaires successifs (L = 10^-13 m) dans cette même période T. Donc sa vitesse est imposée selon : c = L / T, tout simplement.

      N'importe quel photon est donc informé du rythme du BEC. Il a donc une connotation non locale. Cela répond à une question que personne ne se pose : pourquoi la vitesse de la lumière est-elle constante ?
      Einstein a pris cela comme une donnée expérimentale mais il aurait bien aimé avoir sa cause universelle.

      Oui mais quelle est la cause de du temps universel T ?

      Réponse : quand le lot (bulle univers) de tachyons stochastiques s'est synchronisé, il l'a fait en prenant la moyenne de toutes les périodes aléatoires! Cela est valable également pour M, la masse et L, l'amplitude d'oscillation.

      Dans chaque branche 1D d'un oscillateur dual, la recherche du zéro à chaque cycle, implique la règle suivante : si M → 0 alors L → ∞. Cela veut dire :

      1/ le produit M × L est une constante (renouvelée aléatoirement à chaque cycle)
      2/ L est déphasé de 180° (π/2).

      Donc par définition, la nature interdit tout paramètre physique infini (ici le L). Cela implique d'interdire le M = 0.

      La seule et unique solution primordiale ? → osciller entre deux limites aléatoires : valeur minimale → valeur maximale.

      Mais comme le zéro M n'est pas parfait, la nature a inventé l'oscillateur duale qui "fabrique" un zéro parfait mais relatif.

      On voit bien ici comment ensuite, un zéro apparent peut devenir quelque chose par une opération de "brisure de symétrie" ou de "délocalisation".

      Ainsi le M de l'électron varie de "presque zéro à sa valeur maximale). On mesure juste sa valeur moyenne.

      La dualité onde/corpuscule de l'électron, est déjà présente dans l'oscillateur primordial. Quand M → 0 la tendance (déphasée) est une grande amplitude max.

      Maintenant on peut comprendre dans le BEC, le lien : perturbation M = perturbation L ! Mais cette image simple 1D, devient un casse tête vectoriel dans son expression 3D. Les équations d'Einstein ne disent que cela ! C'est la cause du lien courbure/gravitation.

      Le problème actuel ? on veut croire que la cause de l'espace-temps est la gravitation ! Non la gravitation est juste une des perturbations parmi d'autres. Encore une fois, on confond cause et effet.

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    4. Juste une précision : la "peau" de la bulle univers est de type énergétique. Pour passer d'un espace élémentaire à un autre on peut dire que le "bon de sortie" paye le "bon d'entrée" dans l'espace élémentaire contiguë.
      Cette facilité disparait au bord des BECs périphériques ! Une immense impulsion pour sortir ne donnerait qu'une petite déformation. Autrement dit vouloir mettre un bras c'est prétendre séparer (délocaliser) tous les tachyons de l'univers ! C'est juste impossible !

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    5. Peut-être que je pourrais monter un blog sur Google+. Mais j'avoue que je me sens bien chez mon ami Olivier !

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    6. Mr HARTMANSHENN : Merci de me permettre d'abuser encore de la possibilité de poser ici quelques questions (et d'abuser par là même de la patience de mes interlocuteurs ...)
      Mr MAREAU : ce champ d'OSCAR dont vous parlez, quelle relation entretient-il avec l'espace ? Je veux dire : l'espace n'est-il qu'un "contenant" éventuel de certaines propriétés de ce champ, ou bien peut-il jouer un rôle plus actif que celui seulement de se courber, de façon élastique, au voisinage de la masse ?
      Je vois, en effet, que vous développez tout un "monde" de particules (bosons/tachyons ...) dans le subquantique. En parallèle, le modèle standard parle, lui, de "vide" (qui n'en est pas un ! car abritant une mystérieuse énergie fluctuante), ce "vide" étant sans relation précise - sauf erreur de ma part - avec l'espace.
      Cela me permettrait peut-être de mieux comprendre pourquoi vous qualifiez la gravitation de simple "perturbation.

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    7. Je voudrais rajouter que ma question est sans doute mal posée. A la réflexion, il me semble qu'elle s'adresserait plutôt à la "théorie standard", OSCAR étant trop nouveau pour moi. Peut-être que, si Mr HARTMANSHENN le permet, la lui reformulerais-je pour lui demander ce qu'il en pense. Mais il me faut d'abord la clarifier ...

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  11. Voilà une bonne nouvelle !
    Mais si vous redémarrez un nouveau blog, quid du contenu de l'ancien ? Je suppose qu'il ne pourra plus être accessible ?

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  12. j etudie avec un ami informaticien comment remettre mes rubriques sur un site dédié sur Internet et nous pensons à OVH

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  13. A jihems
    pas de problème pour les commentaires sur ce site!!!
    il est fait pour y discuter avec respect et franchise courtoise !!!

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  14. A jihems
    voir mon blog créé ici https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.fr/

    Merci de laisser un commentaire

    bien à vous

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    1. Mr MAREAU :
      Vous allez sans doute le regretter, car j'ai encore un lot de questions saugrenues en réserve ! ...
      Mais merci quand même de m'y inviter.

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  15. bravo Dominique !
    vous aurez tout l espace que vous voulez!attention il faut plusieurs semaines pour être pris par GOOGLE!

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