jeudi 4 octobre 2018

Le Pouvoir de l'Imaginaire N°618 / MYSTERIEUX TERRITOIRE DU SUBQUANTIQUE


Puisque Mr PEPPER en   a avalé son chewing -gum  quand je lui ai fait part des résultats des calculs de mon expérience de pensée sur  deux neutrinos  en interaction ( de  gravité TYPE NEWTON )de plus  en plus  faible  ,écoutons ses critiques  et entamons une procédure de forum avec nos lecteurs ....

Et pour commencer je prie mes lecteurs de bien vouloir aller lire les lignes de commentaire que DOMINIQUE MAREAU a laissées hier et aujourd’hui  ...A ce sujet je rappelle que ce dernier  admet certains cas de vitesses supraluminique  dans le cadre de sa" théorie du tout ", dénommée OSCAR 
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-" Je  ne crois pas que vous  pensiez  OLIVIER  que     placer parfois  le phénomène de gravité   dans le champ des phénomènes  subquantiques   puisse me gêner .... Si  l on prend  la formule de NEWTON  c est une formule de force  continue en 1/d² donc  aussi faible que l’on veut ...Et si l’on prend celle de la courbure de l’espace-temps d’EINSTEIN  elle peut l'etre également tout autant  . ....En revanche  c'est plutôt  placer la gravité dans le domaine  des  phénomènes supraluminique qui me gêne ....Que la gravité   puisse , sous certaines conditions , se propager plus vite que la lumière   a provoqué d’intenses contestations  lors des premiers dépouillements de l’expérience  OPERA  /GRANS SASSO en  2012    démentis finalement  (Final Results of the OPERA Experiment on ν(e) 2018 )..Tout le monde ou presque continue de croire qu'EINSTEIN   avait raison ...(.G  se propage à vitesse c !)

-" Je ne l’ignore pas  en effet PEPPER  mais ce n’était qu une  hypothèse et non la conclusion stricte de mon calcul  , car si en effet s' il existe des modifications d 'états   dues a des variations d 'énergie  passant en dessous de celle qu implique la constante de  PLANCK    pourquoi   ne pas imaginer   que le territoire  subquantique    puisse   présenter  des lois différentes ....Ce qui pourrait me motiver  c’est par exemple , en revenant dans les tout premiers instants du modèle standard de la Cosmologie et à  l' hypothèse big bang  , c’est de constater  que lorsque cela les arrange  ,les physiciens admettent  que l’espace se propageait , pendant la période dite de l’inflation à une vitesse  bien plus grande que la lumière   (Alan Guth , Andrei  Linde ,  Robert Brout, François Englert, et Alexei Starobinsky. etc ..).

-" Je suis de votre avis    , concernant cette dernière question, OLIVIER.....   Mais il me semble que plutôt que de chercher à calculer des expériences de pensée comme vous l’avez fait , la vérité sortira  d 'une mesure d’onde gravitationnelle   dont on aura déterminé très exactement le top de départ  et sa comparaison avec  le  top de  départ du signal électromagnétique correspondant  ...et là on verra qui court le plus vite  sur des trajets en longueur de l’ordre  du milliard d’années-lumière   ..
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-". Cet exemple existe  PEPPER et c’est le dernier repéré expérimentalement ! Je suis allé  en effet   sur le site  de  recherches LIGO Scientific Collaboration: LSC pour y piocher les tous derniers résultats  d’ondes gravitationnelles ... Il se  trouve que les premières détectées en  2015  concernaient des coalescences de trous noirs   et que les suivantes , en 2017 concernaient trous noirs et étoiles a neutrons ... A ma surprise j ai constaté qu une trés forte équipe d académicien et scientifiques chinois  travaillaient sur "le dos" des américains et complétaient beaucoup leurs résultats    voici la reférence  GW170817/GRB 170817A/AT2017GFO ASSOCIATION: SOME IMPLICATIONS FOR PHYSICS AND ASTROPHYSICS
Hao Wang et  allia  in Physical Review Journals - American Physical Society
 Et je vous traduit la quasi intégralité   de l’abstract publié sur arXiv :"Le 17 août 2017, un événement d'onde gravitationnelle (GW170817)  avec  un coure sursaut gamma associé (GRB 170817A) provenant d'une fusion d'étoiles à neutrons binaires ont été détectés. Les observations optiques / infrarouges de suivi ont également identifié l’émission macronova / kilonova (AT2017gfo). Dans ce travail, nous discutons des implications de l’association remarquable GW170817 / GRB 170817A / AT2017gfo. Nous montrons que le délai   de 1.7seconde  entre les signaux des ondes gravitationnelles (GW) et GRB impose une contrainte très stricte sur le mouvement supraluminique des ondes gravitationnelles (c.-à-d. Que l'écart relatif entre la vitesse de cette  GW et la vitesse de la lumière est ≤4,3 × 10− 16) ou aussi que  la violation possible du principe d’équivalence faible (c’est-à-dire que la différence entre les trajectoires des rayons gamma et de GW dans le champ gravitationnel de la galaxie et de l’univers local devrait se situer dans les limites d’un facteur de 3,4 × 10−9). Les soi-disant concepts  de matière noire  ainsi qu’une classe de modèles concurrents pour l'accélération cosmique ("Covariant Galileon") sont également exclus. L’identification réussie des éléments de la  série des lanthanide dans le spectre macronova / kilonova exclut également la possibilité que les progéniteurs de GRB 170817A constituaient un système binaire  en étoiles étranges "

s’il y a différence , elle est donc très faible    ....
 A SUIVRE
 Image result for ondes gravitationnelles




2 commentaires:

  1. Je précise que le modèle Oscar indique que c'est le tissu subquantique (supraluminique) formant l'espace-temps qui fixe la vitesse c à l'échelle quantique. Il y a trois effets mesurables qui vérifient le supraluminique subquantique : a) l'intrication ; b) l'effet tunnel ; c) la force faible pour expliquer la symétrie CPT à l'échelle non locale. Quand allons-nous comprendre que l'expérience limitée au référentiel local, est incomplète.

    La clé est : la dualité de localité. Tout est là !

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  2. ... La gravitation est bien évidemment liée la vitesse c. Sinon il n'y aurait pas de délocalisation originelle et donc pas de dualité de localité. Mais l'apparition furtive du boson de jauge W relève de la relocalisation supraluminique. Mais là, la mesure est indirecte puisque c'est par le biais du rétablissement non local, de la symétrie CPT.

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