SCIENCES ENERGIES ENVIRONNEMENT:blogger

 

Topological quantum processor uses Majorana zero modes for fault-tolerant computing

by Sonia Fernandez, University of California - Santa Barbara

TRADUIT ET COMMENT2 PAR R O  HARTMANSHENN

Le processeur quantique topologique utilise les modes zéro de Majorana pour le calcul tolérant aux pannes

par Sonia Fernandez, Université de Californie - Santa Barbara

Majorana 1, le processeur quantique topologique à huit qubits dévoilé lors de la conférence Microsoft Station Q 2025. Crédit : Microsoft

Dans un bond en avant pour l'informatique quantique, une équipe Microsoft dirigée par des physiciens de l'UC Santa Barbara a dévoilé mercredi un processeur quantique topologique à huit qubits, le premier du genre. La puce, construite comme une preuve de concept pour la conception des scientifiques, ouvre la porte au développement de l'ordinateur quantique topologique tant attendu.

"Nous avons un tas de choses que nous avons gardées secrètes et que nous laissons tomber toutes d'un coup maintenant", a déclaré le directeur de Microsoft Station Q, Chetan Nayak, professeur de physique à l'UCSB et Technical Fellow pour le matériel quantique chez Microsoft. La puce a été dévoilée lors de la conférence annuelle de Station Q à Santa Barbara et accompagne un article publié dans la revue Nature, rédigé par Station Q, leurs collègues de Microsoft et une foule de collaborateurs qui présentent les mesures de l'équipe de recherche sur ces nouveaux qubits.

« Nous avons créé un nouvel état de la matière appelé supraconducteur topologique », a expliqué Nayak. Cette phase de la matière abrite des limites exotiques appelées modes zéro de Majorana (MZM) qui sont utiles pour l'informatique quantique, a-t-il expliqué. Les résultats de simulations et de tests rigoureux de leurs dispositifs à hétérostructure sont cohérents avec l'observation de tels états. « Cela montre que nous pouvons le faire, le faire rapidement et le faire avec précision », a-t-il déclaré.

Les chercheurs ont également suivi leur résultat de Nature avec un article actuellement en pré-impression sur arXiv, décrivant une feuille de route pour faire évoluer leur technologie vers un ordinateur quantique topologique entièrement fonctionnel.

La magie de Majorana

La promesse de l'informatique quantique réside dans la vitesse et la puissance de ses calculs, qui devraient surpasser même le supercalculateur classique le plus avancé. Tout cela repose sur le qubit, la version informatique quantique du bit, l'unité fondamentale d'information des ordinateurs classiques. Alors que les bits classiques n'existent que dans un état de zéro ou de un, les qubits peuvent représenter zéro, un et des combinaisons intermédiaires.

Les qubits peuvent se présenter sous différentes formes, utilisant les comportements quantiques d'ions piégés, par exemple, ou de photons. Les systèmes topologiques sont basés sur un autre type de particule appelé anyon, un type de « quasiparticule » qui émerge comme le résultat des états corrélés de nombreuses particules en interaction à la surface d'un matériau, dans ce cas un nanofil supraconducteur.

Ce qui fait de l'informatique quantique topologique un domaine de recherche si en vogue, c'est qu'elle promet plus de stabilité et de robustesse aux erreurs que les autres systèmes informatiques quantiques. Les qubits peuvent être sujets aux erreurs, ce qui oblige les constructeurs d'ordinateurs quantiques à en tenir compte, par exemple en construisant davantage de qubits pour corriger les erreurs.

« Une approche complémentaire consiste à intégrer la correction des erreurs au niveau matériel », a déclaré Nayak. Comme l’information quantique est distribuée et stockée sur un système physique plutôt que dans des particules ou des atomes individuels, a-t-il expliqué, l’information traitée par les qubits topologiques est moins susceptible de perdre sa cohérence, ce qui donne un système plus tolérant aux pannes.

Mais n’importe quelle quasiparticule ne fera pas l’affaire. Pour l’informatique quantique topologique, les particules de Majorana, et plus précisément les modes zéro de Majorana, sont l’outil de choix. Nommées en hommage au physicien italien Ettore Majorana, qui les a prédites en 1937, ces particules ont la particularité d’être leurs propres antiparticules et de pouvoir conserver une « mémoire » de leurs positions relatives au fil du temps. En les « tressant » – en les déplaçant physiquement les unes autour des autres – il est possible de créer une logique quantique plus robuste.

Les chercheurs ont réalisé ces particules en plaçant un nanofil semi-conducteur en arséniure d’indium très près d’un supraconducteur en aluminium. Dans les bonnes conditions, le fil semi-conducteur devient supraconducteur et entre dans une phase topologique. Les MZM émergent aux extrémités du fil, tandis que le reste du fil présente un gap énergétique.

« Plus cet écart topologique est grand », a souligné Nayak, « plus la phase topologique est robuste. Ce qui est surprenant, c'est que lorsque vous agrandissez l'écart, non seulement il devient plus robuste, mais vous allez potentiellement plus vite et peut-être réduisez un peu tout, de sorte que vous ne payez pas votre fidélité avec la taille. »

Avec huit qubits, le processeur topologique des chercheurs n'est qu'un embryon dans le monde des ordinateurs quantiques, mais marque une étape majeure dans la quête de plusieurs décennies des scientifiques pour développer un ordinateur quantique topologique. En cours de route, a déclaré Nayak, des partenariats fructueux ont été noués entre Station Q et l'université, en particulier dans le domaine de la création des matériaux qui hébergent les comportements quantiques topologiques.

« Chris Palmstrom a été un collaborateur à plusieurs reprises, et il a fait des avancées importantes dans ce type de matériaux », a-t-il déclaré à propos de l'expert en matériaux électroniques, tandis que la scientifique des matériaux Susanne Stemmer a apporté son expertise en matière de processus de fabrication. Station Q a également embauché de nombreux étudiants dans son équipe et, plus important encore, a ajouté Nayak, le concept d'hétérostructure de semi-conducteur est né des idées récompensées par le prix Nobel de Herb Kroemer, qui était professeur au département de génie électrique et informatique.

"L'UCSB possède une longue histoire d'expertise et de talent dans ce type de combinaisons de matériaux et dans cette science des matériaux vraiment de pointe, qui ouvre de nouveaux types de physique que nous pouvons faire."

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TRADUCTYION DU RESUME 

un processeur quantique topologique utilise les modes zéro de Majorana pour un calcul tolérant aux pannes

Une équipe de Microsoft dirigée par des physiciens de l'Université de Californie à Santa Barbara a dévoilé mercredi un processeur quantique topologique à huit qubits, le premier du genre. La puce, conçue comme une preuve de concept pour la conception des scientifiques, ouvre la voie au développement de l'ordinateur quantique topologique tant attendu.

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 MON COMMENTAIRE 

 Je ne suis ni spécialiste des qubits  ni spécicialistes   de topologie quantiqur mais j 'espère que l 'équipe de  Microsoft  a réussi son coup  car depuis le temps  qu on nous  parle de ce nouvel ordinateur quantique  on commence à s'impatienter   ...15  ans au moins  qu 'on ne voit toujours rien venir    !!!Rèves ??Fumisterie ?????

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 C f  sur  INTERNET  /GOOGLE 

''Ma Blague sur l'Informatique Quantique''!!!

Reddit · r/Quantu

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''L'ordinateur quantique, machine à fantasmes''  ????

etc  etc.....

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More information: David Aasen et al, Roadmap to fault tolerant quantum computation using topological qubit arrays, arXiv (2025). DOI: 10.48550/arxiv.2502.12252

Journal information: arXiv  , Nature 

Provided by University of California - Santa Barbara 

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FEBRUARY 22, 2025

 The GIST 

 Editors' notes

Unexpected shape of lead-208 nucleus prompts reevaluation of atomic nuclei models

by University of Surrey

traduit et commenté  PAR r o  hartmanshenn

La forme inattendue du noyau de plomb 208 incite à réévaluer les modèles de noyaux atomiques

par l'Université de Surrey

Valeurs moyennes (points) et régions de confiance correspondant à 1 σ (lignes pleines) et 2 σ (lignes pointillées) pour les éléments de matrice ⟨ 0 +1 | E3 | 3 −1⟩ et ⟨ 3 −1| E2 | 3 −1⟩ (en haut), et les éléments de matrice ⟨ 0 +1| E2 | 2 +1⟩ et ⟨ 2 +1| E2 | 2 +1⟩ (en bas). Crédit : Physical Review Letters (2025). DOI : 10.1103/PhysRevLett.134.062502

Une collaboration de recherche internationale dirigée par le groupe de physique nucléaire de l'université de Surrey a renversé la croyance de longue date selon laquelle le noyau atomique du plomb-208 (²⁰⁸Pb) est parfaitement sphérique. Cette découverte remet en question les hypothèses fondamentales sur la structure nucléaire et a des implications de grande portée pour notre compréhension de la formation des éléments les plus lourds de l'univers.

Le plomb-208 est exceptionnellement stable car il s'agit d'un noyau « doublement magique » — et il est le plus lourd que nous connaissions. Cependant, une nouvelle étude publiée dans Physical Review Letters a utilisé une sonde expérimentale de haute précision pour examiner sa forme et a découvert qu'au lieu d'être parfaitement sphérique, le noyau du plomb-208 est légèrement allongé, ressemblant à un ballon de rugby (sphéroïde allongé).

Le Dr Jack Henderson, chercheur principal de l'étude à l'École de mathématiques et de physique de l'Université de Surrey, a déclaré : « Nous avons pu combiner quatre mesures distinctes en utilisant l'équipement expérimental le plus sensible au monde pour ce type d'étude, ce qui nous a permis de faire cette observation difficile. Ce que nous avons vu nous a surpris, démontrant de manière concluante que le plomb-208 n'est pas sphérique, comme on pourrait le supposer naïvement. Ces résultats remettent directement en cause les résultats de nos collègues en théorie nucléaire, offrant une voie passionnante pour les recherches futures. »

À l'aide du spectromètre à rayons gamma GRETINA de pointe du laboratoire national d'Argonne dans l'Illinois, aux États-Unis, les scientifiques ont bombardé des atomes de plomb avec des faisceaux de particules à grande vitesse accélérés à 10 % de la vitesse de la lumière, ce qui équivaut à faire le tour de la Terre toutes les secondes. Les interactions ont créé des empreintes uniques de rayons gamma des propriétés des états quantiques excités dans les noyaux de plomb 208 (en d'autres termes, les noyaux ont été énergisés), qui, à leur tour, ont été utilisées pour déterminer leur forme.

Les physiciens théoriciens, notamment ceux du Surrey Nuclear Theory Group, réexaminent actuellement les modèles utilisés pour décrire les noyaux atomiques, car les expériences suggèrent que la structure nucléaire est bien plus complexe qu'on ne le pensait auparavant.

Le professeur Paul Stevenson, théoricien principal de l'étude de l'Université de Surrey, a déclaré : « Ces expériences extrêmement sensibles ont jeté un nouvel éclairage sur quelque chose que nous pensions très bien comprendre, nous présentant le nouveau défi de comprendre les raisons de ce phénomène. Il est possible que les vibrations du noyau de plomb 208, lorsqu'il est excité pendant les expériences, soient moins régulières qu'on ne le pensait auparavant. Nous affinons maintenant nos théories pour déterminer si ces idées sont exactes. »

L’étude, qui a réuni une équipe d’experts issus de centres de recherche en physique nucléaire de premier plan en Europe et en Amérique du Nord, remet en question les principes fondamentaux de la physique nucléaire et ouvre de nouvelles voies de recherche sur la stabilité nucléaire, l’astrophysique et la mécanique quantique.

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TRADUCTION DU RESUME SCIENCE X 

La forme inattendue du noyau de plomb 208 incite à réévaluer les modèles de noyaux atomiques

Une collaboration internationale de recherche dirigée par le groupe de physique nucléaire de l'Université de Surrey a renversé la croyance de longue date selon laquelle le noyau atomique de plomb 208 (²⁰⁸Pb) est parfaitement sphérique. Cette découverte remet en question les hypothèses fondamentales sur la structure nucléaire et a des implications de grande portée pour notre compréhension de la formation des éléments les plus lourds de l'univers.

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MON CXOMMENTAIRE 

Les résultats proposé  par l article  ne m étonnent pas !

Avec 41 paires de protons et 63 paires de neutrons, le noyau de plomb 208 est le dernier et le plus lourd des noyaux très stables, dits « doublement magiques », dans lesquels les « couches » de protons et de neutrons, disposées comme dans un oignon, sont toutes complètes. voir ma figue sur les isotopes  naturels et articiels  

 En fait  il semble logique  que les 41  protons stables "" noyés ''  dans la '' soupe ''des  167  neutrons métastables  ne soit pas ''tiraillés   de  vibrations dissymétriques  ....

  (De plus  le nobre des protons  est impair dans le 208...la reùmarque des ateurs est pertinante  et ces phénomènes  pourraient s' accroitre )  lorsque  l 'ampleur des noyau augment avec le Z   .

 

More information: J. Henderson et al, Deformation and Collectivity in Doubly Magic 208Pb, Physical Review Letters (2025). DOI: 10.1103/PhysRevLett.134.062502

Journal information: Physical Review Letters 

Provided by University of Surrey 

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Scientists achieve measurement of three different deformations in atomic nucleus

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Nuclear fusion: WEST machine beats the world record for plasma duration

by Princeton Plasma Physics Laboratory

traduit et commente par R O  HARTMANSHENN

Fusion nucléaire : la machine WEST bat le record du monde de durée de plasma

par Princeton Plasma Physics Laboratory

Le record du plasma a atteint une température de 50 millions de degrés. Crédit : CEA

1 337 secondes : c'est le temps pendant lequel WEST, un tokamak exploité depuis le site du CEA à Cadarache (sud de la France) et l'un des Tokamak de taille moyenne du consortium EUROfusion, a pu maintenir un plasma le 12 février. C'est 25 % de mieux que le précédent record établi avec EAST, en Chine, quelques semaines auparavant.

Atteindre de telles durées est une étape cruciale pour des machines comme ITER, qui devront maintenir des plasmas de fusion pendant plusieurs minutes. L'objectif final est de contrôler le plasma, naturellement instable, tout en s'assurant que tous les composants en contact avec le plasma soient capables de supporter son rayonnement sans dysfonctionner ni le polluer.

C'est ce que les chercheurs du CEA entendent réaliser et qui explique le record actuel. Au cours des prochains mois, l'équipe WEST va redoubler d'efforts pour obtenir des durées de plasma très longues, jusqu'à plusieurs heures cumulées, mais aussi pour chauffer le plasma à des températures encore plus élevées afin de se rapprocher des conditions attendues dans les plasmas de fusion.

WEST est une installation du CEA qui bénéficie de l'expérience de plusieurs décennies du CEA dans l'utilisation des tokamaks pour étudier les plasmas. Elle accueille des chercheurs du monde entier, qui exploitent ses caractéristiques clés permettant des plasmas de longue durée, notamment ses bobines supraconductrices et ses composants refroidis activement.

WEST s'inscrit dans un mouvement international qui comprend d'autres expériences majeures dans lesquelles les chercheurs du CEA sont fortement impliqués, comme JET, le tokamak Joint European Torus au Royaume-Uni (fermé fin 2023), qui détient le record d'énergie de fusion, JT-60SA au Japon, EAST en Chine, KSTAR en Corée du Sud, sans oublier la machine phare qu'est ITER.

Anne-Isabelle Etienvre, directrice de la recherche fondamentale au CEA, a déclaré : « WEST a franchi une nouvelle étape technologique clé en maintenant le plasma d'hydrogène pendant plus de vingt minutes grâce à l'injection de 2 MW de puissance de chauffe. Les expériences vont se poursuivre avec une puissance accrue. Cet excellent résultat permet à WEST et à la communauté française d'ouvrir la voie pour l'utilisation future d'ITER. »

La fusion nucléaire est une technologie dont le but ultime est de contrôler le plasma naturellement instable. Elle utilise encore moins de ressources et moins de combustible que la fission, déjà très concentrée, et ne produit pas de déchets radioactifs à vie longue.

Parmi les différentes techniques possibles pour produire de l'énergie, la plus avancée est la fusion par confinement magnétique, où le plasma est maintenu dans un tore par un champ magnétique intense et chauffé jusqu'à ce que les noyaux d'hydrogène fusionnent. Le JET a montré que la fusion par confinement produit une puissance de fusion de 15 MW pendant plusieurs secondes.

La France, qui abrite à la fois WEST et ITER, est bien placée pour accueillir le premier prototype de réacteur à fusion nucléaire. La fusion nucléaire est une source d'énergie qui exploite les réactions nucléaires, avec de nombreux aspects complémentaires possibles de l'énergie de fission nucléaire et des techniques associées liées aux neutrons et à la matière, qui sont bien connus.

Néanmoins, compte tenu des infrastructures nécessaires pour produire cette énergie à grande échelle, il est peu probable que la technologie de fusion contribue de manière significative à l’atteinte de la neutralité carbone d’ici 2050. Pour cela, plusieurs points d’achoppement technologiques doivent être surmontés et la faisabilité économique de cette forme de production d’énergie doit encore être démontrée

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Provided by Princeton Plasma Physics Laboratory 

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Chinese 'artificial sun' sets a record towards fusion power generation

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traduction du tésum" Science  X

Fusion nucléaire : la machine WEST bat le record du monde de durée de plasma

1 337 secondes : c'est le temps pendant lequel WEST, un tokamak exploité sur le site du CEA à Cadarache dans le sud de la France et l'une des installations Tokamak de taille moyenne du consortium EUROfusion, a pu maintenir un plasma le 12 février. C'est une amélioration de 25 % par rapport au précédent record établi par EAST, en Chine, quelques semaines auparavant.

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MON COMMENTAIRE 

Je suis  en tant que retraité du CEA   trés content de ce résultat   .

J 'attends  sur le plan théorique  la détermination   plus précise  des parametres physiques  et  chimiques  des plasmas  vraiment productifs   en énergie de fusion H   .....Et j 'espère  ensuite  que '' l 'intendance suivra'' (  Napoléon ) !!!!!!

Nous savons  fabriquer des super bmbes   H  :

l'explosion la plus puissante de l'histoire est celle de la Tsar Bomba soviétique de 57 Mt de puissance, qui devait servir de test à des bombes de 100 Mt . Ce fut une bombe de type « FFF » (fission-fusion-fission) mais « bridée », le 3e étage étant inerte.

https://fr.wikipedia.org › wiki › Bombe

Pourquoi  ne saurions nous pas  fafriquer des plies a fusion  H ???

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'City killer' asteroid now has 3.1% chance of hitting Earth: NASA

by Issam Ahmed with Daniel Lawler in Paris

TRADUIT ET COMMENT PAR T O  HARTMANSHENN

L'astéroïde « tueur de ville » a désormais 3,1 % de chances de percuter la Terre, selon la NASA

par Issam Ahmed avec Daniel Lawler à Paris

Cette image fournie par la NASA montre l'astéroïde 2024 YR4 tel qu'observé par le télescope Magdalena Ridge de 2,4 m du New Mexico Institute of Technology le 27 janvier 2025.

Un astéroïde qui pourrait raser une ville a désormais 3,1 % de chances de percuter la Terre en 2032, selon les données de la NASA publiées mardi, ce qui en fait le rocher spatial le plus menaçant jamais enregistré par les prévisions modernes.

Malgré les probabilités croissantes, les experts estiment qu'il n'y a pas lieu de s'alarmer. La communauté astronomique mondiale surveille de près la situation et le télescope spatial James Webb devrait fixer son regard sur l'objet, connu sous le nom de 2024 YR4, le mois prochain.

"Je ne panique pas", a déclaré à l'AFP Bruce Betts, scientifique en chef de l'association à but non lucratif Planetary Society.

« Naturellement, quand vous voyez les pourcentages augmenter, cela ne vous fait pas vous sentir bien et rassuré », a-t-il ajouté, mais a expliqué qu'à mesure que les astronomes recueillent plus de données, la probabilité augmentera probablement avant de rapidement tomber à zéro.

2024 YR4 a été détecté pour la première fois le 27 décembre dernier par l'observatoire El Sauce au Chili.

Les astronomes estiment sa taille entre 40 et 90 mètres de large, en fonction de sa luminosité. L'analyse de ses signatures lumineuses suggère qu'il a une composition assez typique, plutôt qu'un astéroïde riche en métaux rares.

Le Réseau international d'alerte aux astéroïdes (IAWN), une collaboration mondiale de défense planétaire, a publié une note d'avertissement le 29 janvier après que la probabilité d'impact ait dépassé 1 %. Depuis lors, le chiffre a fluctué mais continue de progresser.

Les derniers calculs de la NASA estiment la probabilité d'impact à 3,1 %, avec une date d'impact potentielle sur Terre le 22 décembre 2032.

Cela se traduit par une probabilité d'une sur 32, soit à peu près la même chose que de deviner correctement le résultat de cinq lancers de pièces consécutifs.

La dernière fois qu'un astéroïde de plus de 30 mètres de diamètre a posé un risque aussi important, c'était Apophis en 2004, lorsqu'il a brièvement eu 2,7 % de chances de percuter la Terre en 2029, une possibilité qui a ensuite été écartée par des observations supplémentaires.

Dépasser ce seuil est "historique", a déclaré Richard Moissl, directeur du bureau de défense planétaire de l'Agence spatiale européenne, qui estime le risque légèrement inférieur à 2,8 %.

Observations de Webb en mars

"C'est un événement très, très rare", a-t-il déclaré à l'AFP, mais a ajouté : "Ce n'est pas une crise à ce stade. Ce n'est pas le tueur de dinosaures. Ce n'est pas le tueur de planètes. C'est tout au plus dangereux pour une ville".

Les données du télescope Webb, l'observatoire spatial le plus puissant, seront essentielles pour mieux comprendre sa trajectoire, a déclaré Betts de la Planetary Society.

« Webb est capable de voir des choses qui sont très, très sombres », a-t-il déclaré, ce qui est essentiel car l'orbite de l'astéroïde l'amène actuellement vers Jupiter, et sa prochaine approche rapprochée n'aura pas lieu avant 2028.

Si le risque augmente de plus de 10 %, l'IAWN émettrait un avertissement officiel, ce qui conduirait à une « recommandation pour tous les membres de l'ONU qui ont des territoires dans des zones potentiellement menacées de commencer à se préparer à une éventualité terrestre », a expliqué Moissl.

Contrairement à l'astéroïde de 10 kilomètres de large qui a anéanti les dinosaures il y a 66 millions d'années, 2024 YR4 est classé comme un « tueur de villes » - pas une catastrophe mondiale, mais tout de même capable de provoquer des destructions importantes.

Sa dévastation potentielle vient moins de sa taille que de sa vitesse, qui pourrait atteindre près de 64 000 km/h s'il frappe.

Si l'astéroïde pénètre dans l'atmosphère terrestre, le scénario le plus probable est une explosion aérienne, ce qui signifie qu'il exploserait en plein vol avec une force d'environ huit mégatonnes de TNT, soit plus de 500 fois la puissance de la bombe d'Hiroshima.

Mais un cratère d'impact ne peut pas être exclu si la taille est plus proche de la limite supérieure des estimations, a déclaré Betts.

Le couloir d'impact potentiel s'étend sur le Pacifique oriental, le nord de l'Amérique du Sud, l'Atlantique, l'Afrique, la péninsule arabique et l'Asie du Sud, bien que Moissl ait souligné qu'il était bien trop tôt pour que les gens envisagent des décisions drastiques comme le déplacement.

La bonne nouvelle : il y a largement le temps d'agir.

La mission DART de la NASA en 2022 a prouvé que les engins spatiaux peuvent modifier avec succès la trajectoire d'un astéroïde, et les scientifiques ont théorisé d'autres méthodes, comme l'utilisation de lasers pour créer une poussée en vaporisant une partie de la surface, en la faisant dévier de sa trajectoire grâce à la gravité d'un engin spatial, ou même en utilisant des explosions nucléaires en dernier recours.

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 TRADUCTION DU RESUME SCIENCES X 

L'astéroïde « tueur de ville » a désormais 3,1 % de chances de frapper la Terre, selon la NASA

Un astéroïde qui pourrait raser une ville a désormais 3,1 % de chances de frapper la Terre en 2032, selon les données de la NASA publiées mardi, ce qui en fait la roche spatiale la plus menaçante jamais enregistrée par les prévisions modernes.

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 MON COMMENTAIRE

Deux parameters principaux conditionnent   une détection  ''précoce''  des astéroides  en général  ;: leur grosseuer  et leur albedo  ( leur pouvoir de reflection  de la lumière=  

. Par ailleurs  les  appareils optiques   chargés de les surveiller doivent éviter   la pollution lumineuse   .Tout ceci  peut expliquer  pourquoi  des astéroides  de moins dev 10 mètres   n ayant un angle d attaque  tangent a la couche atmosphérique  peuvent  échapper à toute surveillance ...

Heuteusement  la part de surface maritime terrestre est de 71 °  !

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A 'city-killer' asteroid might hit Earth—how worried should we be?

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SUNSHINE ON  MY SHOULDERS MAKES ME HAPPY

BUT WALKING IN NASSAU STREET   PRICETN  MAKES ME SMILE '

TRADUCTION DES RESUMES RECUS CE MATIN 

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Cher Olivier Hartmanshenn,

Voici votre newsletter Science X personnalisée pour la semaine 08 :

L'évolution de la palette pigmentaire de la peau, des yeux et des cheveux européens vue à travers l'ADN ancien

Des chercheurs de l'Université de Ferrare en Italie ont étudié l'évolution de la pigmentation de la peau, des yeux et des cheveux européens au cours des 45 000 dernières années. Les résultats indiquent que les traits de pigmentation plus clairs sont apparus progressivement et de manière non linéaire, la peau foncée persistant dans de nombreuses populations jusqu'à l'âge du cuivre et de l'âge du fer. L'étude a utilisé une méthode de probabilité génotypique probabiliste pour déduire les traits de pigmentation à partir d'ADN ancien à faible couverture.

Les crânes vikings inspectés par tomodensitométrie révèlent une morbidité grave

La population suédoise de l'âge viking semble avoir souffert de graves maladies bucco-dentaires et maxillo-faciales, d'infections des sinus et des oreilles, d'arthrose et bien d'autres maladies. C'est ce que montre une étude de l'Université de Göteborg dans laquelle des crânes vikings ont été examinés à l'aide de techniques de rayons X modernes.

FrançaisÉlevage rare : la collaboration japonaise pour sauver les hérons à ventre blanc, une espèce en voie d'extinction au Bhoutan, prend son envol

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Des chercheurs font tourner la « roue de la fortune » pour trouver une preuve fondamentale de la mécanique quantique

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1 337 secondes : c'est le temps pendant lequel WEST, un tokamak exploité sur le site du CEA à Cadarache dans le sud de la France et l'une des installations Tokamak de taille moyenne du consortium EUROfusion, a pu maintenir un plasma le 12 février. C'est une amélioration de 25 % par rapport au précédent record établi par EAST, en Chine, quelques semaines auparavant.

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Une étude publiée dans Geophysical Research Letters a remis en question la compréhension conventionnelle de la relation entre le réchauffement climatique et l'évaporation des océans. Une équipe de recherche de l'Institut des sciences géographiques et de recherche sur les ressources naturelles de l'Académie chinoise des sciences a découvert un phénomène selon lequel, malgré la hausse des températures de la surface de la mer, l'évaporation globale des océans a diminué au cours de la dernière décennie.

L'oreille interne des Néandertaliens révèle des indices sur leur origine énigmatique

De nouvelles recherches sur la morphologie de l'oreille interne des Néandertaliens et de leurs ancêtres remettent en question la théorie largement acceptée selon laquelle les Néandertaliens sont nés après un événement évolutif qui a impliqué la perte d'une partie de leur diversité génétique. Les résultats, basés sur des échantillons fossiles d'Atapuerca (Espagne) et de Krapina (Croatie), ainsi que de divers sites européens et d'Asie occidentale, ont été publiés dans Nature Communications.

Un siècle de dioxyde de carbone supplémentaire stimule la photosynthèse des arbres tropicaux

La concentration de CO2 dans l'atmosphère augmente rapidement, avec de nombreuses conséquences négatives pour le climat. Cependant, il existe également un effet positif, comme l'ont découvert des scientifiques de WUR : au cours du siècle dernier, le CO2 supplémentaire a conduit à une photosynthèse plus efficace dans les arbres tropicaux.

Brûler du plastique pour cuisiner et se chauffer : une crise environnementale émergente

Un article dirigé par l'Université Curtin, « The Use of Plastic as a Household Fuel among the Urban Poor in the Global South » publié dans Nature Cities, appelle à agir pour réduire la combustion de plastique pour le chauffage et la cuisine, une pratique courante mais dangereuse qui émerge dans des millions de ménages dans les pays en développement en raison d'un manque de sources d'énergie traditionnelles.

Des expériences de type « jeu de dictateur » montrent que les femmes sont plus généreuses que les hommes

Un groupe de psychologues et d'économistes de l'université Jaume I, en Espagne, a trouvé des preuves que les femmes sont plus généreuses que les hommes. Dans leur étude publiée dans la revue en libre accès PLOS ONE, Iván Barreda-Tarrazona, Ainhoa ​​Jaramillo-Gutiérrez, Marina Pavan et Gerardo Sabater-Grande ont collaboré

Microsoft se lance dans la course à l'informatique quantique avec une puce révolutionnaire

Le géant de la technologie Microsoft a dévoilé mercredi une nouvelle puce informatique qui, selon lui, pourrait tout transformer, de la lutte contre la pollution au développement de nouveaux médicaments, rejoignant Google et IBM en affirmant que la promesse de l'informatique quantique est plus proche de la réalité.

Les radiations cosmiques des supernovae ont modifié l'évolution des virus en Afrique, selon une étude

Le lac Tanganyika est isolé par les montagnes le long du rift est-africain. Long de plus de 640 kilomètres, il est le lac le plus profond du continent et représente 16 % de l'eau douce disponible dans le monde. Il y a entre 2 et 3 millions d'années, le nombre d'espèces de virus infectant les poissons de cet immense lac a explosé, et dans une nouvelle étude, des chercheurs de l'UC Santa Cruz suggèrent que cette explosion a peut-être été déclenchée par l'explosion d'une étoile lointaine.

Elon Musk appelle à la désorbitation de la Station spatiale internationale dès que possible

Le dernier coup de marteau lié à l'espace d'Elon Musk est d'appeler à sa désorbitation dès que possible dans deux ans.

La lune de Jupiter, Callisto, est très probablement un monde océanique

Plus criblée de cratères que tout autre objet de notre système solaire, la lune galiléenne la plus éloignée et la deuxième plus grande de Jupiter, Callisto, semble géologiquement banale. Dans les années 1990, cependant, la sonde spatiale Galileo de la NASA a capturé des mesures magnétiques près de Callisto qui suggéraient que sa surface de coquille de glace - très semblable à celle d'Europe, une autre lune de Jupiter - pourrait renfermer un océan d'eau salée liquide.

Un processeur quantique topologique utilise les modes zéro de Majorana pour le calcul tolérant aux pannes

Dans un bond en avant pour l'informatique quantique, une équipe Microsoft dirigée par des physiciens de l'UC Santa Barbara a dévoilé mercredi un processeur quantique topologique à huit qubits, le premier du genre. La puce, construite comme une preuve de concept pour la conception des scientifiques, ouvre la porte au développement de l'ordinateur quantique topologique tant attendu.

Comment l'extinction des dinosaures a créé un environnement qui a contribué à l'apparition de nos ancêtres primates frugivores

L'extinction des plus grands dinosaures de la Terre pourrait avoir joué un rôle crucial dans la création d'un environnement qui a favorisé l'évolution des fruits, façonnant ainsi indirectement l'évolution de nos propres ancêtres frugivores, selon une nouvelle étude.

La forme inattendue du noyau de plomb 208 incite à réévaluer les modèles de noyaux atomiques

Une collaboration de recherche internationale dirigée par le groupe de physique nucléaire de l'université de Surrey a renversé la croyance de longue date selon laquelle le noyau atomique de plomb 208 (²⁰⁸Pb) est parfaitement sphérique. Cette découverte remet en question les hypothèses fondamentales sur la structure nucléaire et a des implications de grande portée pour notre compréhension de la formation des éléments les plus lourds de l'univers.

Fusion nucléaire : la machine WEST bat le record du monde de durée de plasma

1 337 secondes : c'est le temps pendant lequel WEST, un tokamak exploité sur le site du CEA à Cadarache dans le sud de la France et l'une des installations Tokamak de taille moyenne du consortium EUROfusion, a pu maintenir un plasma le 12 février. C'est une amélioration de 25 % par rapport au précédent record établi par EAST, en Chine, quelques semaines auparavant.

SCIENCES ENERGIES ENVIRONNEMENT /BLOGGER

 

• Dear olivier hartmanshenn,

  Here is your customized Science X Newsletter for week 08:

  	The evolving pigment palette of European skin, eyes and hair as seen through ancient DNA University of Ferrara researchers in Italy have examined how European skin, eye and hair pigmentation evolved over the past 45,000 years. Findings indicate that lighter pigmentation traits emerged gradually and non-linearly, with dark skin persisting in many populations well into the Copper and Iron Ages. The study used a probabilistic genotype likelihood method to infer pigmentation traits from low-coverage ancient DNA.
  	Viking skulls inspected with CT scans reveal severe morbidity Sweden's Viking Age population appears to have suffered from severe oral and maxillofacial disease, sinus and ear infections, osteoarthritis, and much more. This is shown in a study from the University of Gothenburg in which Viking skulls were examined using modern X-ray techniques.
  	Rare rearing: Japanese collaboration to save near-extinct White-bellied herons in Bhutan takes wings The White-bellied Heron (WBH), the world's second-largest heron, is a symbolic bird for the people of Bhutan and also a typical "umbrella species" that requires a habitat with a vast, preserved environment. In recent years, the WBH's habitat has been severely disturbed by human activities, and its population has decreased significantly.
  	Researchers spin 'wheel of fortune' to find a fundamental proof of quantum mechanics Researchers from the National University of Singapore (NUS) and University of New South Wales (UNSW) Sydney have proven that a spinning atomic nucleus really is fundamentally a quantum resource. The teams were led respectively by Professor Valerio Scarani, from NUS Department of Physics, and Scientia Professor Andrea Morello from UNSW Engineering. The paper was published in the journal Newton on 14 February 2025.
  	Reintroducing wolves to Scottish Highlands could help address climate emergency, study suggests Reintroducing wolves to the Scottish Highlands could lead to an expansion of native woodland which could take in and store one million metric tons of CO2 annually, according to a new study led by researchers at the University of Leeds.
  	Ancient seafarers in Southeast Asia may have built advanced boats 40,000 years ago The ancient peoples of the Philippines and of Island Southeast Asia (ISEA) may have built sophisticated boats and mastered seafaring tens of thousands of years ago—millennia before Magellan, Zheng He, and even the Polynesians.
  	'City killer' asteroid now has 3.1% chance of hitting Earth: NASA An asteroid that could level a city now has a 3.1-percent chance of striking Earth in 2032, according to NASA data released Tuesday—making it the most threatening space rock ever recorded by modern forecasting.
  	Scientists discover unexpected decline in global ocean evaporation amid rising sea temperatures A study published in Geophysical Research Letters has challenged the conventional understanding of the relationship between global warming and ocean evaporation. A research team from the Institute of Geographic Sciences and Natural Resources Research of the Chinese Academy of Sciences discovered a phenomenon that, despite rising sea surface temperatures, global ocean evaporation has decreased over the past decade.
  	The inner ear of Neanderthals reveals clues about their enigmatic origin New research on the inner ear morphology of Neanderthals and their ancestors challenges the widely accepted theory that Neanderthals originated after an evolutionary event that implied the loss of part of their genetic diversity. The findings, based on fossil samples from Atapuerca (Spain) and Krapina (Croatia), as well as from various European and Western Asian sites have been published in Nature Communications.
  	A century of extra carbon dioxide boosts photosynthesis in tropical trees The concentration of CO2 in the atmosphere is rising rapidly, with numerous negative consequences for the climate. However, there is also a positive effect, as scientists from WUR have discovered: for the past century, the extra CO2 has led to more efficient photosynthesis in tropical trees.
  	Burning plastic for cooking and heating: An emerging environmental crisis A Curtin University-led paper, "The Use of Plastic as a Household Fuel among the Urban Poor in the Global South" published in Nature Cities, has called for action to reduce the burning of plastics for heating and cooking, a common yet hazardous practice emerging in millions of households in developing nations due to a lack of traditional energy sources.
  	'Dictator Game' experiments show women are more generous than men A group of psychologists and economists at Jaume I University, in Spain, has found evidence that women are more generous than men. In their study published in the open-access journal PLOS ONE, Iván Barreda-Tarrazona, Ainhoa Jaramillo-Gutiérrez, Marina Pavan, and Gerardo Sabater-Grande conducted experiments with volunteers playing "the Dictator Game."
  	Microsoft joins quantum race with breakthrough chip Tech giant Microsoft unveiled a new computer chip on Wednesday that it says could transform everything from fighting pollution to developing new medicines, joining Google and IBM in arguing that the promise of quantum computing is closer to reality.
  	Cosmic radiation from supernova altered virus evolution in Africa, study suggests Isolated by mountains along the East African Rift is Lake Tanganyika. More than 400 miles long, it is the continent's deepest lake and accounts for 16% of the world's available freshwater. Between 2 and 3 million years ago, the number of virus species infecting fish in that immense lake exploded, and in a new study, UC Santa Cruz researchers propose that this explosion was perhaps triggered by the explosion of a distant star.
  	Elon Musk calls for deorbit of International Space Station as soon as possible Elon Musk's latest space-related hammer throw is to call for it to be deorbited as soon as two years from now.
  	Jupiter's moon Callisto is very likely an ocean world More pocked with craters than any other object in our solar system, Jupiter's outermost and second-biggest Galilean moon, Callisto, appears geologically unremarkable. In the 1990s, however, NASA's Galileo spacecraft captured magnetic measurements near Callisto that suggested that its ice shell surface—much like that of Europa, another moon of Jupiter—may encase a salty, liquid water ocean.
  	Topological quantum processor uses Majorana zero modes for fault-tolerant computing In a leap forward for quantum computing, a Microsoft team led by UC Santa Barbara physicists on Wednesday unveiled an eight-qubit topological quantum processor, the first of its kind. The chip, built as a proof-of-concept for the scientists' design, opens the door to the development of the long-awaited topological quantum computer.
  	How dinosaur extinctions created an environment that contributed to our fruit-eating primate ancestors The extinction of the largest dinosaurs to walk the Earth may have played a critical role in creating an environment that helped fruits evolve, thereby indirectly shaping the evolution of our own fruit-eating ancestors, according to new research.
  	Unexpected shape of lead-208 nucleus prompts reevaluation of atomic nuclei models An international research collaboration led by the University of Surrey's Nuclear Physics Group has overturned the long-standing belief that the atomic nucleus of lead-208 (²⁰⁸Pb) is perfectly spherical. The discovery challenges fundamental assumptions about nuclear structure and has far-reaching implications for our understanding of how the heaviest elements are formed in the universe.
  	Nuclear fusion: WEST machine beats the world record for plasma duration 1,337 seconds: that was how long WEST, a tokamak run from the CEA Cadarache site in southern France and one of the EUROfusion consortium medium size Tokamak facilities, was able to maintain a plasma for on 12 February. This was a 25% improvement on the previous record time achieved with EAST, in China, a few weeks previously.

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