Greetings from the fourth dimension: Scientists glimpse 4D crystal structure using surface wave patterns
traduit et commenté par R.O.HA RTMANSHENN
Aalutations de la quatrième dimension : les scientifiques entrevoient une structure cristalline 4D à l'aide de modèles d'ondes de surface
par Technion - Institut de technologie d'Israël
Dans l'illustration : un tesseract (un cube à quatre dimensions) et l'« ombre » qu'il projette sur un plan : le quasicristal découvert par Shechtman. Selon le professeur Bartal, « le fait qu'un quasicristal soit une « ombre » d'un cristal périodique dans une dimension supérieure n'est pas nouveau en soi. Ce que nous avons découvert, c'est que la projection inclut non seulement la structure mais aussi les propriétés topologiques telles que les tourbillons. » ). Crédit : Florian Sterl, Sterltech Optics
En avril 1982, le professeur Dan Shechtman du Technion–Institut de technologie d'Israël a fait la découverte qui lui a valu plus tard le prix Nobel de chimie 2011 : le cristal quasipériodique. Selon les mesures de diffraction effectuées au microscope électronique, le nouveau matériau apparaissait « désorganisé » à des échelles plus petites, mais avec un ordre et une symétrie distincts apparents à une échelle plus grande.
Cette forme de matière était considérée comme impossible et il a fallu de nombreuses années pour convaincre la communauté scientifique de la validité de la découverte. Les premiers physiciens à expliquer théoriquement cette découverte furent le professeur Dov Levine, alors doctorant à l'université de Pennsylvanie et aujourd'hui membre du corps professoral du département de physique du Technion, et son directeur de thèse, le professeur Paul Steinhardt.
L'idée clé qui a permis leur explication était que les quasicristaux étaient en fait périodiques, mais dans une dimension supérieure à celle dans laquelle ils existent physiquement. En s'appuyant sur cette constatation, les physiciens ont pu décrire et prédire les propriétés mécaniques et thermodynamiques des quasicristaux.
Le concept de dimension spatiale supérieure étend notre espace tridimensionnel familier (longueur, largeur et hauteur) en introduisant des directions supplémentaires qui sont perpendiculaires à ces trois dimensions. Cela est difficile à visualiser, car nous ne pouvons percevoir le monde qui nous entoure que comme un espace tridimensionnel, et encore plus difficile à mesurer. Un exemple d'objet à quatre dimensions est le tesseract, également connu sous le nom d'hypercube.
Tout comme un cube est constitué de six facettes carrées, un tesseract comprend huit cellules cubiques. Bien que nous ne puissions pas visualiser complètement un tesseract, nous pouvons le représenter à travers ses projections, un peu comme si nous regardions l'ombre d'un cube tridimensionnel sur une feuille de papier bidimensionnelle.
Dans une nouvelle étude publiée dans Science, des chercheurs du Technion, en collaboration avec l'Université de Stuttgart et l'Université de Duisbourg-Essen en Allemagne, apportent un nouvel éclairage sur ce phénomène. Dans leur étude, dirigée par le professeur Guy Bartal et le Dr Shai Tsesses de la Faculté de génie électrique et informatique Andrew et Erna Viterbi, le professeur Harald Giessen de l'Université de Stuttgart et le professeur Frank Meyer zu Heringdorf de l'Université de Duisbourg-Essen, le groupe de recherche a démontré que non seulement les cristaux de dimension supérieure dictent les propriétés mécaniques des cristaux quasi-périodiques, mais qu'ils déterminent également leurs propriétés topologiques.
'(traduction partielleb à
Le transfort de leur belle video m est impossible
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TRADUCTION DU RESUME SCIENCE X
Salutations de la quatrième dimension : des scientifiques entrevoient une structure cristalline 4D à l'aide de modèles d'ondes de surface
En avril 1982, le professeur Dan Shechtman du Technion–Institut israélien de technologie a fait la découverte qui lui a valu plus tard le prix Nobel de chimie 2011 : le cristal quasi-périodique. Selon des mesures de diffraction effectuées au microscope électronique, le nouveau matériau apparaissait « désorganisé » à plus petite échelle, mais avec un ordre et une symétrie distincts apparents à une plus grande échelle.
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MON COMMENTAIRE
Cet article interessant technologiquement me pose un problème de terminologie . Je n aime pas qu 'on me parle d espace 4 D
voire N D hors de propos !
Pour moi seulS y o,nt droit : 1 / Einstein et son espace xyz t dans la Relativité Générale
2/ Les théoriciciens des '' super cordes '' et leurs espaces à N dimensions droites ou courbes
XXXXXXXXMore information: Shai Tsesses et al, Four-dimensional conserved topological charge vectors in plasmonic quasicrystals, Science (2025). DOI: 10.1126/science.adt2495
Journal information: Science
Provided by Technion - Israel Institute of Technology
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