Je ne dois
pas laisser rouiller mon américain !!
Donc voici comme promis les gros titres d’aujourd’hui ;….et si l’un de
mes lecteurs le demande , je peux proposer une traduction pour un article qui l’intéresse
…Cependant attention ! je ne suis compètent qu’en physique chimie et astronomie
. Ne me demandez pas de
commentaires sur les autres types de
matières …Ma traduction ( gratuite) ne concernera que les articles qui me plaisent !!!!
Here is your customized Science X Newsletter for March
6, 2019:
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Spotlight
Stories Headlines / Les articles phares du jour
.
‘CruzAffect: C’est une approche riche
en fonctionnalités pour caractériser le bonheur (N.B du traducteur « A
team of researchers at UC Santa Cruz have recently developed a new machine
learning approach to characterize happiness, called CruzAffect. Their
approach, presented in a paper pre-published on arXiv”,)
.L'effet
Kerker optomécanique: Pouvoir contrôler
la lumière avec des nanoparticules vibrantes
.Les
scientifiques mettent des ichthyosaures dans des réservoirs d'eau virtuels N.B
/ Une recherche par le calcul des volumes d’eau des fossile)
.Les qubits
intriqués peuvent-ils être utilisés pour sonder des trous noirs? N.B /Un calcul
de communication quantique par trou noir )
.Nouvelles
perspectives sur le paysage géographique du Tibet central préhistorique ( N.B /
De la geologie )
.Notre
cerveau révèle nos choix avant même que nous en ayons conscience, révèle une
étude N.B/ Recherche sur les phases préliminaires de nos choix )
.Au fur et à
mesure que le niveau de la mer monte, les zones humides augmentent leur
stockage de carbone ( N.B previsions climatiques )
. La ligne
de neige est en migration et joue un rôle énorme dans le rythme de la fonte
des glaces au Groenland ( N .B ; actualisation climatique du Froenland )
.Les
scientifiques découvrent des vers qui ont récemment permis à leur tête de
repousser
.1 + 1 n'est
pas égal à 2 pour les matériaux 2D similaires au graphène
.Des
acariens puissants donnent l'avantage a des scarabées éparpillés par rapport a
de plus gros rivaux N.B/ Certaines symbioses parasites sont positives )
;Moon shot:
Toyota et l'agence spatiale japonaise planifient une mission lunaire
.Le
changement climatique oblige les animaux de l'Arctique à modifier leurs habitudes
alimentaires: étude
.Un seul
appareil, plusieurs fréquences: les chercheurs créent un tout petit résonateur
L'ennemi
juré du diabète pourrait à terme être un allié précieux (B.B /De hormones
antagonistes ,insulin and glucagon)
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Je ne suis pas spécialiste en zoologie animale
mais j’ai trouvé si bizarre cette recherche que je vous la propose :
“Scientists find worms that recently evolved the
ability to regrow a complete head”
Les
scientifiques découvrent des vers qui ont récemment permis à leur tête de repousser
6 mars 2019
par Kimbra Cutlip, Université du Maryland
Le ver
rubané (Tubulanus sexlineatus) qui repousse une tête, considéré comme la partie
pigmentée plus claire à gauche. Crédit: Terra C. Hiebert
Un groupe
international de chercheurs, comprenant des biologistes de l'Université du
Maryland, a découvert qu'au moins quatre espèces de vers à ruban marins
développaient de manière indépendante la capacité de faire repousser leur tête après une amputation.
La
régénération des parties du corps amputées est rare, mais existe dans tout le
monde animal - des salamandres, des araignées et des étoiles de mer qui peuvent
régénérer des appendices et cela va
jusqu à une espèce de ver à ruban capable de régénérer un individu
entier à partir d'un petit fragment de tissu. Mais les capacités de
régénération étaient généralement considérées comme un trait ancien que
certaines espèces ont réussi à conserver, tandis que la plupart d’autres ont
été perdues au fil de l’évolution.
Cette
nouvelle étude, publiée dans le compte rendu de la Royal Society B du 6 mars
2019, renverse cette hypothèse. Dans une enquête sur 35 espèces de vers à ruban
marins, les chercheurs ont découvert que la capacité de régénérer une tête
entière, y compris un cerveau, avait évolué relativement récemment chez quatre
espèces différentes.
"Cela
signifie que lorsque nous comparons des groupes d'animaux, nous ne pouvons pas
supposer que les similitudes dans leur capacité à se régénérer sont anciennes
et reflètent une ascendance commune", a déclaré Alexandra Bely,
professeure agrégée de biologie à l'UMD et l'un des auteurs de l'étude.
"Nous devons faire plus attention lorsque nous comparons les résultats de
la régénération chez différents groupes d'animaux."
Tous les
animaux ont un certain degré de capacité de régénération. Même les humains
repoussent la peau endommagée sur une plaie. Cependant, les lignées animales
qui ont divergé très tôt dans l'histoire de l'évolution, telles que les
éponges, les hydroïdes et les cténophores, sont souvent capables de régénérer
des individus entiers même à partir de petites parties amputées. Avec la
complexité croissante des animaux, les capacités de régénération sont devenues
moins dramatiques et plus courantes.
Il est
fondamental d’estimer où et quand des changements dans les capacités de
régénération se sont produits dans l’arbre de la vie pour comprendre comment la
régénération évolue et quels facteurs influencent le trait. Jusqu'à présent, la
compréhension scientifique de l'évolution de la régénération reposait
uniquement sur des études sur des animaux ayant perdu leurs capacités de
régénération. En effet, tous les gains connus en capacité de régénération se
sont produits trop loin dans le passé pour permettre des études comparatives.
Cette
nouvelle recherche présente la documentation la plus claire sur les animaux qui
acquièrent des capacités de régénération et pourrait mettre en lumière les
caractéristiques nécessaires pour que le trait évolue.Pour mener cette étude,
les chercheurs ont collecté des vers à ruban le long des côtes des États-Unis,
d'Argentine, d'Espagne et de Nouvelle-Zélande de 2012 à 2014. Ils ont effectué
des expériences de régénération sur 22 espèces, les coupant en biseau et
observant leur capacité de régénération. Ils ont également obtenu des
informations sur 13 autres espèces de ver à ruban de mer provenant d'études
antérieures.
Toutes les
espèces ont pu se reconstituer pour devenir des individus complets en
re-développant leurs extrémités arrière. Seules huit espèces ont pu repousser
la tête et reconstituer tout un individu de la partie postérieure du corps.
Quatre d’entre elles étaient issues d’études antérieures et quatre étaient
nouvelles.
Plus
surprenant que le nombre de vers à ruban pouvant faire repousser des têtes,
c'est que la majorité d'entre eux ne le pourraient pas. Des études menées dans
les années 1930 sur le ver à ruban Lineus sanguineus ont montré qu'il était un
champion de la régénération animale avec la capacité de repousser avec succès
un corps entier et sa tête à partir de l'équivalent de seulement deux cent
millièmes d'un individu Cet exemple a
rendu le phylum des vers à ruban marins (connu sous le nom de Nemertea) réputé
pour être de super régénérateurs.
L’hypothèse
naturelle était que c’était un trait ancien, transmis par un ancêtre commun,
que certains vers à ruban ont commencé à perdre à mesure que les espèces
divergeaient. Cependant, avec leur enquête sur 35 espèces, les chercheurs ont
reconstitué le schéma évolutif de régénération à travers le phylum et ont
découvert qu'il s'agissait d'une capacité développée plus récemment, même parmi
les super régénérateurs comme Lineus sanguineus.
"L'ancêtre
de ce groupe de vers est supposé avoir été incapable de régénérer une tête,
mais quatre groupes distincts ont par la suite développé la capacité de le
faire", a déclaré Bely. "L'une de ces origines est supposée s'être
produite il y a seulement 10 à 15 millions d'années."
En termes
d’évolution, c’est l’histoire récente, étant donné que l’on pense que les
capacités de régénération ont d’abord évolué avant la période cambrienne il y a
plus de 500 millions d’années.
Les
possibilités d'étudier les gains en capacités de régénération peuvent
considérablement améliorer la compréhension des scientifiques des stratégies de
développement qui permettent et améliorent la régénération
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Mon commentaire
:il ne rejoint que de loin le sujet : c’est la possibilité récemment démontrée
de ressouder des moelles épinières
coupées cf ma reference : Des nanofibres pour réparer la moelle
épinière de souris paralysées
Car nous avons chaque jour des paraplégiques supplémentaires
……
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