mercredi 22 avril 2020

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE/2020 REPRISE

Reprenons la suite de la discussion abandonnée avec Mr PEPPER sur les énergies ou les masses susceptibles de se propager plus vite que la lumière


 888888888888888888888888

 J’aimerais rappeler d’abord OLIVIER que cette initiative démarre à la suite de la publication récente de Andrzej Dragan the Faculty of Physics, University of Warsaw (FUW) and Prof. Artur Ekert from the University of Oxford (UO) dont le titre est : « Bridge between quantum mechanics and general relativity still possible More information: Andrzej Dragan et al, Quantum principle of relativity, New Journal of Physics (2020. DOI: 10.1088/1367-2630/ab76f7 »

 -« C’est exact PEPPER car ces deux auteurs se dégagent d’une certaine façon , peu explicable ici , d’admettre que si l énergie électromagnétique semble ne pas pouvoir se propager à une vites plus importante que c=299 792 458 m/s. il est licite de se demander pourquoi !Quelle est la raison qui l’empêche d’aller plus vite ??? -«

J’ai longtemps cru OLIVIER qu’ il n’existait aucune forme d’énergie de propagation plus rapide que celle des ondes électromagnétiques et c’est la faute d’EINSTEIN à qui on a posé la question indirectement en lui demandant si la vitesse de propagation d’un champ gravitationnel était instantanée…. Comme avai t pu le postuler NEWTON …Et il a postulé ,lui , qu’elle valait c ! -«

 « Je crois me rappeler PEPPER q une manip spéciale a réussi à prouver qu’il avait raison ! a Le chercheur, qui dirigeait l'équipe internationale de radio ‘astronomes, a présenté le 7 décembre 2003 le résultat de ses travaux lors de la réunion annuelle de la Société américaine d’astronomie.. Selon ces résultats, la vitesse de la gravité mesurée serait de 1,06 fois la vitesse de la lumière, avec une grosse marge d'erreur de 20%. L'expérience a consisté à mesurer avec une très grande précision la distance angulaire séparant plusieurs quasars, des astres très lointains et d'une très grande luminosité. Pour effectuer cette mesure décisive les astronomes ont profité d'un alignement visuel exceptionnel le 8 septembre entre la planète Jupiter et l'un des quasars. L'hypothèse formulée par les chercheurs était que la gravité de Jupiter devait entraîner un infime déplacement de la position dans le ciel de ce quasar. Selon les chercheurs, l'ampleur de ce déplacement, qui se traduit par une légère déformation des ondes radio provenant du quasar, devait dépendre de la vitesse de propagation de la gravité. "Nous avons déterminé que la vitesse de propagation de la gravité est égale à la vitesse de la lumière, a précisé l'astronome Ed Folamont de l'Observatoire national de radioastronomie (National Radio Astronomy Observatory, NRAO). Êtes-vous pour autant satisfait PEPPER …. ? -«

 Vous vous doutez bien que non OLIVIER ! Nous sommes revenus aujourd’hui dans le champ des thèmes du » LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE » et vous pouvez surement anticiper , d apres la publication de Andrzej Dragan and Prof. Artur Ekert tout ce qui va vous tomber dessus ! Quand nous campons tous deux dans ce champ de questionnement, les questions les plus intuitives ; les plus naïves , voire les plus invraisemblables nous avons le droit de nous les poser !

 -« A DEFAUT DE POUVOIR Y REONDRE ! A SUIVRE PAPPER !

2 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  2. La clé de la limite de la vitesse de la lumière vient des intervalles élémentaires et isotropes des cordes-Bodys formant les BECs. Comme les électrons sont des ex-pôles de Bodys, ces intervalles sont égaux au rayon Compton de l'électron le = 10^-13 m).

    Comme par ailleurs le temps propre de l'électron est le même que celui du Body de taille cosmique (te = 10^-21 s), on a bien c = le / te. Les photons passent d'un intervalle à l'autre via le centre du BEC, seul lieu de connexion. En réalité la forme "photon" n'est que le reflet perturbé de sa forme "onde", répartie dans tout le BEC ! C'est la dualité onde-corpuscule !

    L'erreur standard est de considérer naïvement le 3D de l'espace comme étant "inné" continu et élastique ! De ce fait l'expansion devrait faire augmenter c, ce qui n'est pas vérifié ! En réalité, l'expansion déchevêtre les BECs sans modifier leurs intervalles élémentaires.

    L'essence 3D n'est pas "innée" mais est le résultat ultra-dynamique (subquantique et supraluminique) des cordes Bodys 1D se connectant au centre des BECs.

    RépondreSupprimer