Sciences;energies;environnement:le monde delon la physique:2020 semaine 17p3

Avant  lecture des publications quotidiennes  de PHYS ORG/ SCIENCE  X j’étais  parti pour vous dire   quelles appréciations je donnais aux moyens que les universités et groupements de recherche   donnent a  l’étude  de ces phénomènes d’ondes gravitationnelles ;je  les cite : « Les groupes d'ordinateurs hautes performances "Minerva" et "Hypatia" à AEI Potsdam et "Holodeck" à AEI Hannover on »  ….Et de fait ayant visité  le département de l’université  US où une de mes petites  fille s termine son PHD , je reste «  estomaqué » par l’ampleur de leur moyens  …..Je suis tellement  vieux  que tout m’émerveille  moi qui ai démarré mes études supérieures  dans les années 49  où la  France fonctionnait  encore avec les cartes de rationnement et des  règles à calcul !!! Mais j’ai fini par trouver dans le courrier d’aujourd’hui   un sujet a controverses   ! Alors je vais vous en proposer une traduction !!

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The mass of the universe

by Ruhr-Universitaet-Bochum

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La masse de l inivers

par Ruhr-Universitaet-Bochum

 

Les objets de grande masse dans l'univers ne sont pas des lentilles parfaites. En déviant la lumière, ils créent des distorsions. Les images résultantes semblent  celles qu’on  regarder à travers le pied d'un verre à vin. Crédits: Roberto Schirdewahn

Les cosmologistes de Bochum dirigés par le professeur Hendrik Hildebrandt ont acquis de nouvelles connaissances sur la densité et la structure de la matière dans l'univers. Il y a plusieurs années, Hildebrandt avait déjà été impliqué dans un consortium de recherche qui avait souligné des écarts dans les données entre les différents groupes. Les valeurs déterminées pour la densité et la structure de la matière diffèrent selon la méthode de mesure. Une nouvelle analyse, qui comprenait des données infrarouges supplémentaires, a fait ressortir encore plus les différences. Elles pourraient indiquer que c'est la faille de plus  du modèle standard de cosmologie.

Rubin, le magazine scientifique de la Ruhr-Universität Bochum, a publié un rapport sur les recherches d'Hendrik Hildebrandt. La dernière analyse du consortium de recherche, appelée Kilo-Degree Survey, a été publiée dans la revue Astronomy and Astrophysics en janvier 2020.

Deux méthodes pour déterminer la structure de la matière

Les équipes de recherche peuvent calculer la densité et la structure de la matière sur la base du fond cosmique des micro-ondes, un rayonnement qui a été émis peu après le Big Bang et qui peut encore être mesuré aujourd'hui. Il s'agit de la méthode utilisée par le Planck Research Consortium.

L'équipe de Kilo-Degree Survey, ainsi que plusieurs autres groupes, ont déterminé  eux la densité et la structure de la matière en utilisant l'effet de lentille gravitationnelle: lorsque des objets de masse élevée dévient la lumière des galaxies, ces galaxies apparaissent sous une forme déformée à un emplacement différent de celui qu'elles sont en fait lorsqu'elles sont vus de la Terre. Sur la base de ces distorsions, les cosmologistes peuvent déduire la masse des objets déviants et donc la masse totale de l'univers. Pour ce faire, ils doivent cependant connaître, entre autres, les distances entre la source lumineuse, l'objet déflecteur et l'observateur. Les chercheurs déterminent ces distances à l'aide du décalage vers le rouge, ce qui signifie que la lumière des galaxies éloignées arrive sur Terre décalée dans la gamme rouge.

Nouvel étalonnage utilisant des données infrarouges

Pour déterminer les distances, les cosmologistes prennent donc des images de galaxies à différentes longueurs d'onde, par exemple une dans le bleu, une dans le vert et une dans la gamme rouge; ils déterminent ensuite la luminosité des galaxies dans les images individuelles. Hendrik Hildebrandt et son équipe incluent également plusieurs images de la gamme infrarouge afin de déterminer plus précisément la distance.

Des analyses antérieures avaient déjà montré que les données de fond micro-ondes du consortium Planck s'écartent systématiquement des données de l'effet de lentille gravitationnelle. Selon l'ensemble de données, l'écart était plus ou moins prononcé; elle était plus prononcée dans l'enquête Kilo-Degree Survey. «Notre ensemble de données est le seul basé sur l'effet de lentille gravitationnelle et calibré avec des données infrarouges supplémentaires», explique Hendrik Hildebrandt, professeur à Heisenberg et chef du groupe de recherche RUB Observational Cosmology à Bochum. "Cela pourrait être la raison de la plus grande déviation des données de Planck."

Pour vérifier cet écart, le groupe a évalué l'ensemble de données d'un autre consortium de recherche, le Dark Energy Survey, en utilisant un étalonnage similaire.E n conséquences, ces valeurs ont également dévié encore plus fortement des valeurs de Planck.

Débat dans les cercles d'experts

Les scientifiques se demandent actuellement si l'écart entre les ensembles de données est en fait une indication que le modèle standard de cosmologie est faux ou non. L'équipe de l'enquête Kilo-Degree travaille déjà sur une nouvelle analyse d'un ensemble de données plus complet qui pourrait fournir des informations supplémentaires. Il devrait fournir des données encore plus précises sur la densité et la structure de la matière au printemps 2020.également dévié encore plus fortement des valeurs de Planck.

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Dark matter may be smoother than expected

More information: H. Hildebrandt et al. KiDS+VIKING-450: Cosmic shear tomography with optical and infrared data, Astronomy & Astrophysics (2019). DOI: 10.1051/0004-6361/201834878

Journal information: Astronomy & Astrophysics  , Astronomy and Astrophysics

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MES COMMENTAIRES

Mes lecteurs savent probablement  que cette querelle entre ces deux types d’appréciation n’est pas nouvelle  ,La méthode basée sur la fond cosmique fossile microondes   dérive  de l’appréciation que l’on peut se faire sur les divers  red shift  de l effete  DOPLLER FIZEAU  ,  alors que les effet es  de  distorsion par lentilles gravitationnelles  sont les fruits  de la Relativité Einsteinienne pure ….Pour compliquer encore un peu plus le problème les relevés de la mission  Planck  ont strictement  respecté  les lois connues et donné d’autre valeurs a l a dark matter et à la dark energy

Laissons-les discuter jusqu’ aux résultats de la mission EUCLID 2023 !

 C’est ainsi que fonctionne la bonne physique expérimentale : à tâtons !