dimanche 11 mars 2018

LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE N°566 / CHATTERING WITH CLARA...ABOUT DESTINATIONS OF ENERGY...!!!


Je rappelle que ces dialogues pédagogiques  sont fictifs  , mais que CLARA existe bel et bien ; c’est une de mes petites fille , en thèse a  RUTGERS UNIVERSITY /NEW JERSEY /USA  sur d’autres sujets

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-«  Tu restes PAPY , basiquement sur une grande incertitude , dans la mesure où tu ignores si ton univers est ouvert ou fermé ! N ‘est-ce pas ?

-«   C’est exact  CLARA  car s’il est clos je peux appliquer le premier principe de la thermodynamique , lequel me rassure  en me disant que l’énergie totale s’y conserve ….Et ensuite  envisager divers destins et diverses morts  d’univers locaux ….Et aussi  utiliser  les variations d entropie  et l’équation  ds /dt=0  pour la mort thermique de l’univers ….

-«  Alors que  s’il est ouvert, tout cela tombe à l’eau. Je te comprends …Mais  je  croyais que tu avais comparé tes recherches à celles d’autres physiciens sur ce sujet …..Gabriele  Veneziano et Maurizio Gasperini par exemple

-«  Je l’ai fait , c’est vrai   et publié sur blog  NOUVEL OBS  , ce qui n’a donc aucune valeur scientifique !

-«  Ca c’est ton problème avec ton  refus de toute censure ou corrections !!! Mais quelles étaient tes conclusions ?

-«  Bien trop long à raconter maintenant ici !Très sommairement  si tu as , dans  une localisation  fixée  un univers ouvert  il peut provenir  soit  d’un  univers ancien précédant  et en   rebond soit d' un cyclique  plus copieux  soit  par « contamination »  , «  vidange  des photons» etc    d’un autre univers ouvert  ,  « migrant »et   pas trop éloigné    VOIR MA PHOTO .Image result for INFLATION DE ANDREI LINDE


-« Tu n’avais pas envisagé un espace stochastique primitif   rempli d’ondes OSCAR ( DOMINIQUE MAREAU)   et qui se réveille à partir de  mécanismes  de BEC ?

-« Non CLARA! Je ne  le connaissais pas encore …. Mais j’avais  travaillé la dessus avant de le connaitre ….Mais comme j’ai toujours refusé  le miracle  d’un big bang  et sa singularité;  je n’avais pas pensé à cette possibilité  de contourner la difficulté du «  début d’univers  »  par un  pur hasard profond   ( comme disent les  USA :  to get around   worrying problems  by  a tricky chance !!!!)

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-«  Revenons alors s il te plait PAPY   à la " disparition " ou plutôt la dispersion  d’autres  formes d’énergies   que  celle de l’interaction de la force électromagnétique  ( le photon )  …Et j’en vois au moins TROIS  : l’interaction de la force forte ( le gluon )  ,   l’  interaction  faible et l’interaction électro faible   ….Ou se dispersent leurs énergies ???

-« Tu vas trop vite ,CLARA , à me mettre ainsi en demeure  …Je n’ai pas terminé de parler du photon …..Tu me contrains à te rappeler que  les observations astrophysiques  ont soulevé  parfois des doutes quant à savoir si les grands redshift de toutes  les  galaxies lointaines  sont entièrement dus à l'expansion cosmologique. 
…….
-«  Je crois me souvenir PAPY  que l'argument le plus fort en faveur de l'expansion cosmologique est qu'il n'y a pas d'hypothèse connue compatible avec les lois de la physique autre que l'hypothèse du décalage Doppler qui puisse  expliquer ces grands  redshifts observés. Je n’ignore pas que les tenants d’une théorie contraire à l’expansion  ont essayé  dans les années 80-90  de faire valoir que  l'interaction du photon avec l'espace-temps incurvé lui faisait perdre de l'énergie sous forme de photons secondaires à très basse énergie (.GF CRAWFORD)…
..
-«  Tu as raison  mais  cette théorie-là  est tombée à plat et les partisans de l’univers stationnaire  ne sont presque  plus suivis …Non !il s’agit des observations  d’accélération des vitesses d’expansion  ,de  ces   sauts de redshift  et de l’explication par une  énergie noire  …… qui ont valu son Nobel à Saul Peerlmutter…..  Et en fait la réalité  ne sera établie que lorsque le phénomène pourra être confirmé  et  inclus dans un cadre théorique solide, lequel fait encore défaut. C’est  avec stupéfaction que j ai appris  CLARA  que de nouvelles mesures et des calculs récents   contredisaient  tout cela !

-« A quoi fais-tu allusion  PAPY ?

-« A  ceci que j’ai gardé  en langue anglaise et que tu suivras avec application
-Ref  1 / 10-APR-2015
“Accelerating universe? Not so fast”
“ UNIVERSITY OF ARIZONAA UA-led team of astronomers found that the type of supernovae commonly used to measure distances in the universe fall into distinct populations not recognized before; the findings have implications for our understanding of how fast the universe has been”

- Ref 2/ Marginal evidence for cosmic acceleration from Type Ia supernovae
Jeppe Trøst Nielsen, Alberto Guffanti, Subir Sarkar
(Submitted on 3 Jun 2015 (v1), last revised 17 Oct 2016 (this version, v3))
“The "standard" model of cosmology is founded on the basis that the expansion rate of the universe is accelerating at present --- as was inferred originally from the Hubble diagram of Type Ia supernovae. There exists now a much bigger database of supernovae so we can perform rigorous statistical tests to check whether these "standardisable candles" indeed indicate cosmic acceleration. Taking account of the empirical procedure by which corrections are made to their absolute magnitudes to allow for the varying shape of the light curve and extinction by dust, we find, rather surprisingly, that the data are still quite consistent with a constant rate of expansion.” P
Voilà  pourquoi CLARA on recommence à relancer le programme des chandelles étalons de distance que sont les  supernovæ de type Ia !

-«  Ah PAPY   c est stupéfiant ! Voilà peut-être toutes les hypothèses d’énergie noire en l’air !  Et PEERLMUTTER  va rendre  sa médaille NOBEL ???

-«  ATTENDS ! Il reste aussi possible  que la valeur de la  « constante » de HUBBLE  varie en fonction  de l’azimut  de visée ! L’expansion de l’univers  n est peut-être  pas aussi  parfaitement sphérique   qu’on le croit !!??

 A SUIVRE



   



11 commentaires:

  1. Le modèle OSCAR reste cohérent avec une accélération LOCALE ! (au sens cosmologique). Je prédits que les premières mesures seront confirmées comme bonnes avec cependant une légère correction.

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  2. Je rajoute que je n'exclus pas une légère anisotropie à cet égard !

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  3. Il existe tout un tas d autres publications mais je ne peux pas transformer ces blogs en notices de bibbliographie! J ai déja tant de mal à garder quelques lecteurs!

    BIEN A VOUS DOMINIQUE

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  4. Ce n'est déjà pas mal que vous citiez OSCAR et je vous en remercie;

    Bien à vous cher OLIVIER

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  5. « Je n’avais pas pensé à cette possibilité de contourner la difficulté du « début d’univers » par un pur hasard profond ».

    La difficulté lorsqu’on recourt au hasard pour expliquer l’émergence d’un phénomène c’est qu’il nous dispense d’en analyser les causes qui par définition nous échappent car si on les connaissait ce ne serait plus le hasard. Recourir au hasard est donc la manifestation de notre impuissance à comprendre. Mais intrinsèquement l’explication par le hasard est toujours une sorte d’oxymore puisque si le fait à eu lieu, c’est qu’il n’était pas dû au hasard mais à un enchainement de causes que nous ne parvenons pas à élucider ; car en définitive de ce qui Est rien n’est hasardeux car autrement cela n’aurait pas lieu.

    Dès lors, vouloir substituer le hasard comme explication de la genèse à celle du big bang sans cause est une sorte de pirouette puisque ce hasard n’a pas lui-même de cause explicable.

    Le problème se situe ailleurs, dans la volonté farouche de vouloir introduire une NAISSANCE, une origine, un début des temps, alors même que nous avons affaire à un univers éternel et sans cause créatrice.
    Cordialement
    JJM

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    1. Bonjour Mr MICALEF.

      Je partage votre point de vue sur le "hasard" comme cause première. Pour moi, le hasard intervient, mais à l'intérieur de processus. Sinon, il n'éclaire pas grand chose.
      Cependant, je retrouve, personnellement, la même difficulté avec la notion d'"éternité" : ce qui est "comme ça depuis toujours", est "à prendre ou à laisser" et n'explique pas plus ...

      Bien à vous.

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    2. Selon Aristote, la cause première, celle qui est à l’origine du système des cause ne saurait être elle-même causée puisqu’il lui faudrait aussi une cause et ainsi de suite selon une régression à l’infini.
      L’être là éternel du monde est donc sans cause, sans explication possible, sans raison. Cette « sans cause » a donc le même statut d’improuvabilité que le Big Bang ou le hasard créateur. Il est donc aussi impossible de prouver que l’univers est éternel que d’affirmer qu’il est né un jour du hasard ou d’autre chose.

      La grande différence cependant est que les partisans de la genèse historique doivent faire surgir leur univers du néant selon un mode hasardeux ou non, puis songer à le faire disparaître.
      Un monde éternel, toujours là, n’est pas confronté à cette aporie, il n’a pas à justifier une procédure de création puisque JAMAIS CREE. L’univers éternel ne connait pas le néant, le non-lieu de son être, toujours identique à lui-même dans ses fondements, seules étoiles et galaxies naissent et disparaissent.
      Comme vous le constatez, les questions de physiques sont déterminées par une métaphysique initiale.
      Cordialement

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    3. Oui cher Jihems, évoquer le hasard où une éternité sans un processus dument explicité, relève de la spéculation.

      Le modèle OSCAR précise que l'électron nous dit tout sur son état primordial. Il est un monopôle électrique "–" isolé de son alter ego "+" avec qui ils formaient un oscillateur dipolaire induisant le zéro relatif.

      Mais avant cet état synchronisé, il avait un état stochastique où chaque référentiel "1 pôle" oscillait à cause du paradoxe suivant : une valeur d'inertie M = 0 et une valeur d'inertie > o sont injustifiables. La seule solution est l'oscillation entre ces deux interdits et ce dans le cadre précis de l'impulsion de Dirac.

      Le résumé est simple :

      1/ une infinité de dipôles = 0 relatif, oscillent éternellement car chaque pôles "cherche" le zéro absolu impossible en physique !
      2/ le hasard amène le brassage à synchroniser un lot formant BEC.
      3/ le flux de synchronisation ne s'arrête qu'à saturation du BEC (selon ses lois connues)
      4/ la saturation brise le lien des dipôle de la coquille, ce qui forme les monopôles électron-positrons.
      5/ les autres (majoritaires) restent en l'état (zéro relatif) et forme le tissu d'espace-temps.
      6/ L'anisotropie des intervalles produit la mitose en xi^2 BEC-fils, matrice des étoiles.

      A retenir : le paradoxe des interdits : M = 0 et M > 0. Cette profonde dualité est la cause de l'existence par l'oscillation dans le référentiel de chacun des pôles. Il existe une infinité d'origines possibles pour l'inertie, quelle que soit sa proximité du zéro absolu ! En accord avec MAGNAN du Collège de France, le zéro absolu est étranger à la physique.

      Voilà un résumé du processus qui explique à la fois la clé de l'existence, l'absence de constante primordiale (injustifiable) et son éternité basée sur l'impossible accès au zéro absolu. Il faut bien noter que l'incertitude de Heisenberg est liée à la constante électron, constante venue après. Donc à l'origine, cette loi, n'est pas encore binaire mais analogique car elle embrasse l'ensemble infini, des nombres positifs. Le stochastique précède le quantique (quantifié).

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  6. Bonjour Olvier.

    Merci pour avoir abordé ce très intéressant sujet du devenir des différentes formes d'énergie !

    Même si le simple lecteur non spécialiste que je suis en est encore à se poser des questions beaucoup plus basiques (que D MAREAU et JJ MICALEF veuillent bien me pardonner !...) telles que :
    - L'espace est-il vraiment indépendant des "champs" qui le constituent : champ gravitationnel ("Espace-temps"), champ électromagnétique ("vide quantique"), etc.
    - Si oui, serait-il lui-même indépendant de toute source d'énergie pour exister ? Et, le cas échéant, de quelle sorte d'énergie ?
    - D'autre part, je n'arrive pas à concevoir que les ondes puissent progresser "dans un vide absolu", sans aucun support physique.
    Même si on parle de "champs", je me dis qu'une onde a besoin d'un milieu-support discontinu pour permettre cette progression. Sinon, elle serait instantanée.
    Dès lors, ces champs devraient être constitués de parties "oscillantes" connexes, quelles que soient leurs dimensions. Ils devraient donc être fragmentaires, discontinus (discrets ?) Mais à partir de quelle énergie et comment étend-elle le champ concerné ?

    Et l'espace pourrait-il être, lui aussi, fragmentaire ?

    Voilà un peu où j'en suis ... Bonne journée !

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  7. MERCI DE VOS QUESTIONS JEAN MARC ET CLARA ET MOI VONT REPONDRE!!!!!!

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  8. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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