vendredi 15 novembre 2019

SCIENCES .ENERGIES. ENVIRONNEMENT / SOIR DE COLERE ET DE ROGNE.....


Sortant du programme prévu  ( l’exploitation de mes traductions des dernières publications de  Science X week 45 ) , je désire en donner les raisons à mes lecteurs .
 J’ai subi avec agacement il y a quelques jours le  débat sur la chaine de television française  de l émission «  C’EST DANS L’AIR «  à 1800h .  Présentée par  CARILNE ROUX assistée de •
 Elie Cohen, économiste
• Erwan Benezet, journaliste au Parisien - Auteur de "Nucléaire : une catastrophe française"
• Nabil Wakim, journaliste au Monde spécialiste de l'énergie
• Béatrice Mathieu, chef du service économie de L'Express
 Elle avait pour sujet « Risques sismiques, alerte nucléaire ? »
 Et je me suis demandé pourquoi   sur un tel sujet   il n y avait pas présent un expert du nucléaire mais uniquement    des journalistes et économistes  …..Ce n’est pas la première fois que je le  constate  ….Je ne perdrai pas mon temps  à relever les inexactitudes   de certains des invités ....A   DIRE VRAI  seul  ELIE COHEN  s en ai bien tiré  ,  soulignant les fautes de AREVA/EDF/FRAMATONE  etc mais révélant quand même que 2 EPR   y  tournaient en CHINE  depuis 6  mois !Mais l’erreur principale sur le sujet  était scientifique  et il semble que personne ne s’en soit aperçu ! Lorsqu’un séisme survient  , l’indication de sa magnitude sur l’échelle de  RICHTER ou de MERCALI    est rapportée à son épicentre ….. Et les propagations des ondes longitudinales de surface  ( en  xy)  qui sont les plus  en cause ) s’ amortissent en fonction   de la profondeur  de l’endroit qui a » cassé » ,  des types de  terrains environnants   et de la distance qui vous en sépare ….. Rien d’étonnant par conséquent   qu’un seul les 4 sismographes  de la centrales de CRUAS  l ait détecté   car l’ampleur des ondes parvenue place avait été suffisamment amortie  pour ne plus être perçue par la sensibilité des appareils s…Je signale en outre que les gens que j’ai interrogé n’ont rien ressenti !
  Pourquoi fautif que les journalistes fassent don toujours du bzz chaque fois qu’ un ouvrier d’une centrale  se donne un coup de marteau sur un doigt ?
 J’en ai eu l’explication ce matin en écoutant l interview de JEAN MARC JANCOVICI   per un journaliste  de  France culture
 J’encourage tous mes lecteurs a voie et écouter sur leur pc la vidéo de  YOU TUBE / » Jancovici sur France Culture : Transition énergétique avons-nous encore le temps ? - 07/11/2019
Version audio : https://soundcloud.com/effondrement-i...
Lien vers l'émission originale
 : https://www.franceculture.fr/emission...

Site de Jancovici : https://jancovici.com
Page facebook : https://www.facebook.com/jeanmarc.jan...
  A suivre






4 commentaires:

  1. Même agacement que vous pour les mêmes sujets.

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  2. reçu ce matin cev texte d une collègue du cea :alérie Masson-Delmotte : «Les vagues de chaleur vont s'intensifier»
    "Hier, vous participiez à une conférence nommée «Dans 20, 30 ans, y aura-t-il encore de l'eau ?», au côté de Frédéric Van Heems, PDG de Veolia Eau. Est-ce un scénario probable ?

    Nous ne le voyons pas comme cela. Nous explorons les futurs possibles sur la base d'hypothèses de ce qu'on va produire en matière de gaz à effet de serre, mais aussi sur la base de la modélisation du climat. Dans lequel l'eau, la vapeur d'eau, le cycle de l'eau joue un rôle fondamental en réalité. La question de l'abondance de l'eau dépend aussi de ces usages pour l'agriculture, les particuliers, l'industrie. Les tensions sur l'eau ne viennent pas que du climat, elles viennent des usages.

    Justement, quel est l'état de ces usagers aujourd'hui ?

    On observe des usages croissants en particulier concernant l'irrigation agricole dans le monde comme en France. Ce sont des tendances pour lesquelles il faut poser la question de la soutenabilité dans un climat qui change. La question de savoir s'il y aura de l'eau dans 20 ou 30 ans est importante, mais à certains endroits il n'y a déjà plus d'eau. En Australie après des sécheresses importantes, en Inde, en Afrique du Sud ou dans la Creuse, il n'y a pas si longtemps. Il y avait des difficultés à approvisionner certaines villes, malgré des travaux de captage réalisés pour l'alimentation en eau. Quand on est dans des situations de déficit de pluie pendant longtemps, des vagues de chaleur, ça pèse bien sûr sur l'abondance de l'eau.

    Toutes ces conditions étaient réunies cette année ?

    Il y a eu en effet des sécheresses exceptionnelles en France qui ont touché plus de quatre-vingts départements pendant des mois. On est sur une augmentation de la fréquence et de l'intensité des vagues de chaleur sur tous les continents, ça fait partie du réchauffement.

    Sur le pourtour méditerranéen, on voit d'ailleurs une intensité de la sévérité des sécheresses et cela va se poursuivre durant les prochaines décennies. C'est même le hot spot du réchauffement climatique, avec les zones de montagne et le littoral en raison de la montée du niveau des mers. Bien sûr, il faut connaître les événements rares du passé pour savoir à quoi s'attendre, mais il y a aussi un climat qui change et c'est pour cela qu'il est important d'envisager tous ces futurs possibles pour prendre les bonnes décisions.

    Les chercheurs du GIEC ont-ils l'impression d'être entendus par les dirigeants ?

    Il y a clairement une prise de conscience. Ceux qui sont aux avant-postes ce sont les agences de l'eau. Il y a une prise de conscience partout dans le monde, mais elle peine à se traduire en actions efficaces."

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  3. Bilan énergétique de la France
    PRODUCTION D’ÉNERGIE PRIMAIRE PAR ÉNERGIE
    TOTAL : 138 Mtep en 2018
    En Mtep
    160
    140
    120
    100
    80
    60
    40
    20
    0
    À la suite de la mise en place du programme nucléaire, la production française
    d’énergie primaire est passée de 44 Mtep en 1973 (dont 9% de nucléaire) à
    138 Mtep en 2018 (dont 78% de nucléaire). Elle est en hausse de 4,2% par
    rapport à 2017, après deux années de baisse (- 1,2 % en 2017, après - 5,0 %
    en 2016). Cette augmentation s’explique en grande partie par le rebond de la
    production nucléaire (+ 3,7%, à 107,6 Mtep), qui retrouve un niveau de
    production plus proche de ceux habituellement observés, après avoir atteint
    en 2017 son plus bas niveau depuis la fin des années 1990, en raison d’une
    moindre disponibilité du parc. L’extraction d’énergies fossiles a fortement
    décliné, jusqu’à notamment l’arrêt de celle de charbon et de gaz naturel. La
    production d’origine renouvelable (éolien, biocarburants, biogaz...) progresse
    régulièrement depuis le milieu des années 2000 (voir partie 3

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