samedi 9 novembre 2019

SCIENCES.ENERGIES.ENVIRONNEMENT/LE POUVOIR DE L IMAGINAIRE /N° 657


Poursuite de dialogue avec Mr  PEPPER

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-«  Pouvez-vous  OLIVIER   présenter les derniers résultats théoriques ou expérimentaux parus  sur «  l’hypothèse BIG BAN G » ?  (en dehors bien sûr de la publication  signalée par Alexei Y. Poludnenko,  et allia sur les explosions de supernovæ 1 a )
-« PEPPER   ,je vous répète  , qu’ il n’existe aucun  signal expérimental  direct   (observable dans un petit coin très très lointain   par  notre champ de moyens actuels)   par exemple   de la naissance  du big bang  d’un univers voisin !….Et pour vous donner la preuve de la mauvaise foi d’un certain milieu intellectuel ,lorsqu’ il nous arrive de détecter  un trou noir déjà monstrueux  J1342+0928 remontant à 690 millions d'années seulement après le supposé  Big Bang……eh bien  ce n’est pas l’existence de  ce dernier que l’on met en cause  mais les  conditions de naissance de ces  énormes trous noirs ! si précoces !!!
-«  OLIVIER , votre position si radicale m’étonne !J’étais arrivé à penser que le big bang se justifiait   maintenant  par trois preuves astronomiques , physiques et chimiques  donc d’ ’apparence scientifique : le redshift des galaxies,  qui s’éloignent  ,l’origine du rayonnement fossile microonde  et la quantité du deutérium primordial issue des calculs.
-«  J’aimerais  PEPPER   que vous réalisiez    que ces observations expérimentales   et ces mesures confirmées   sont  ensuite prises en charge par des théoriciens  qui grâce  a des outils mathématiques parfois très puissants   nous  IMPOSENT    DES MODELES  d’une théorie !!!!Et bien entendu si celle-ci est  subtilement erronée  ou incomplète alors l’interprétation qu’elle donne des phénomènes sera fausse. Je crois nécessaire, quitte à retomber sur de longues discussions  que nous avons eu avec l’épistémologue JEAN JACK MCALEF  que  la seule aporie sur laquelle nous sommes tombés d’accord est celle-ci : comment l’existence d’un objet physique peut-il surgir d’un  néant, d’un rien,  d’un non être ? En physique ce néant ne peut avoir de sens et on retombe sur DIDEROT …. Tout surgissement implique le passage  d’un état à  un autre qui  se réalise  à partir  de «  quelque chose »  déjà existant.
-« Sur ce point je suis d’accord OLIVIER ! Mais  le problème ensuite est de trouver ce « quelque chose »  qui  est absolument incréé et donc  reste éternel  a  partir duquel  il y a création de matière.  Et  vous avez choisi   de contourner  la difficulté    contre EINSTEIN   !  Vous avez choisi  l’Espace !!!!
-«  Sur ce point    vous  avez à moite raison  PEPPER !
De  fait,peu de gens ( sauf EDGARD GUNZIG ) réalisent que  si selon EINSTEIN  vous n’avez   plus ni  ondes ni matière  il ne reste  plus rien  …..que le néant ….   A l’opposé ,je ne suis pas de ceux  qui se réfugient dans l’idée  que l’’espace cosmique ,  mémé en apparence vide , reste rempli d’une énergie   que  les équations  de la mécanique quantique  peuvent  faire surgir avec opportunisme  …… Dans  le « vide »de mon concept  personnel d’espace  cosmique  je ne  vais mèttre que deux propositions alternatives …
La première :  soit l’ESPACE  EST NU   mais SI  ses  volumes sont éternels , ils sont      pour  accepter  ce qui pourrait   arriver d’ailleurs   et  voir surgir  ou se dérouler    des phénomènes impliquant matière  et ondes   ( ce qui implique  un univers de dimensions  infini es mais hétérogène )
La seconde :l’  Espace cosmique est rempli  d’une bouillie  extrêmement diluée d’ondes anarchiques  qui partant dans tous les sens   se neutralisent  en un vecteur globalement nul !! (théorie des Cordes et autres hérétiques )
Et le surgissement d’un UNIVERS  provient alors  d’un hasard  de  configurations d’ondes   qui s’harmonisent   localement  
-        «  Vous tirez  l’univers au loto ,OLIVIER !!!!!!
  A SUIVRE




3 commentaires:

  1. Dans le modèle Oscar, le calibrage des étoiles formées par les premiers BEC-fils est précisément à 330 Masses solaires. Par ailleurs la conformation en étoiles est inscrite et provoquée par les BECs en moins d'un million d'années après le BB. Donc ces observations sont en accord avec Oscar. Même l'unique et immense "trou" de l'Eridan (complétement éludé par tous) nous montre le BEC-fossile. Je n'aime pas du tout le terme d'hérétique dont l'aspect péjoratif est teinté des heures sombres du moyen âge. Je préfère "théorie alternative". Parmi elles il y a celles qui ne se recoupent avec rien d'observable (par exemple les cordes ou l'univers stable).

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  2. Dans l’hypothèse d’un espace plein d’une bouillie d’ondes vous évitez en effet la naissance à partir de rien, mais vous acceptez la création de l’univers lors d’un évènement unique qu’est le big bang. C’est un phénomène monstrueux et indémontrable.
    Mais on peut imaginer un autre modèle où la naissance de chaque astre soit un mini big bang : qui peut le plus peut le moins. L’avantage, c’est qu’on peut le démontrer par l’observation si les rayonnements hyper énergétiques et les explosions d’étoiles annoncent la naissance d’astres nouveaux et non la mort de vieilles étoiles. De plus, chaque jour avec les accélérateurs de particules on prouve qu’on peut fabriquer de la matière à partir de la substance de l’espace ici et maintenant. Alors pourquoi imaginer deux modes de création qui seraient différents

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  3. Attention !!! La grande erreur du modèle standard est d'ignorer (éluder) que TOUTE création locale est instable. Les protons + électrons stables sont donc de création NON locale i.e ayant subit forcément une réduction de localité qui a délocalisé l'alter ego avec lequel il y a annihilation. Cela montre clairement que le principe cosmologique est une spéculation. En effet, si toutes les localités sont équivalentes, la non localité est très différente. Le MS a des problèmes avec la dualité de localité et notamment avec le "lien fantôme" de l'intrication. Le lieu de cette non localité est le big bang qui relève en effet d'un état antérieur dont l'entropie (de désordre) est maximale car empli d'une infinité d'oscillateurs de type dipolaire à zéro paramètre apparent.
    NB : éluder la dualité de localité est aussi grave que d'éluder la dualité des zéros (entre celui "absolu" de nature mathématique et celui "relatif" de nature physique). Avec Magnan du Collège de France, nous dénonçons l'amalgame qui est fait avec l'utilisation en physique du zéro mathématique.
    https://lacosmo.com/Nature31.html

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